Pendant l’hiver, en raison de la diminution de la luminosité, notre corps sécrète plus de mélatonine, une hormone qui régule notre cycle circadien et entraîne l’endormissement. Il est donc courant de ressentir plus de fatigue à cette période de l’année.
L’année dernière, j’ai ressenti cette sensation comme un poids de glace sur mes épaules depuis l’équinoxe d’automne. Ma baisse d’énergie et de productivité a déclenché en moi une roue d’anxiété : moins j’étais active, plus j’étais anxieuse et plus j’étais anxieuse, moins j’étais active… Cette déprime est d’autant plus prononcée que les mois les plus sombres provoquent une baisse de la sécrétion de sérotonine, dont l’un des rôles est de rendre heureux.
Cette année, pas question de laisser gagner le manque de lumière. Si j’ai passé les 27 premières années de ma vie à adorer l’hiver, je sais que je peux vaincre la déprime saisonnière !
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2024-02-16 00:16:16