Le trouble dysphorique prémenstruel, un tourment qui touche deux femmes sur 100

«Je vis ma vie deux semaines à la fois.» “Aujourd’hui, je suis tellement dépassé par tout ce qui m’entoure que je commence à me sentir étouffé.” “J’ai commencé à avoir des pensées suicidaires et ça me fait peur même si je n’arrête pas de me dire que ce sont juste mes hormones et que je n’ai pas vraiment envie de me faire du mal.” C’est avec ces mots que certaines femmes confient leurs souffrances aux communautés en ligne sur trouble dysphorique prémenstruel o Pmjdune forme grave de syndrome prémenstruel qui amène celles qui en souffrent à être affectées non seulement physiquement mais aussi psychologiquement par les variations hormonales du cycle menstruel dans la période précédant l’arrivée des règles.