Décret exécutif portant fin de l’état d’urgence concernant la situation au Zimbabwe

Décret exécutif portant fin de l’état d’urgence concernant la situation au Zimbabwe

Par l’autorité qui m’est conférée en tant que président par la Constitution et les lois des États-Unis d’Amérique, y compris l’International Emergency Economic Powers Act (50 USC 1701 etsuiv.), la loi nationale sur les urgences (50 USC 1601 et suiv.) (AEN), et l’article 301 du titre 3, United States Code,

Je soussigné, JOSEPH R. BIDEN JR., Président des États-Unis d’Amérique, estime que la déclaration d’une urgence nationale dans le décret 13288 du 6 mars 2003, concernant les actions et politiques de certains membres du gouvernement du Zimbabwe et d’autres personnes pour saper les processus ou les institutions démocratiques du Zimbabwe, telles que invoquées pour les mesures supplémentaires prises dans le décret exécutif 13391 du 22 novembre 2005, et telles que élargies par le décret exécutif 13469 du 25 juillet 2008, ne devraient plus être en vigueur. Bien que je continue d’être préoccupé par la situation au Zimbabwe, en particulier en ce qui concerne les actes de violence et autres violations des droits de l’homme contre des opposants politiques et en ce qui concerne la corruption publique, y compris l’abus de l’autorité publique, la déclaration d’une urgence nationale dans le décret 13288 n’est plus nécessaire. En conséquence, je mets par la présente fin à l’urgence nationale déclarée dans le décret 13288 et révoque ce décret, le décret 13391 et le décret 13469, ainsi que les autres ordonnances :

Section 1. Conformément à l’article 202(a) de la NEA (50 USC 1622(a)), fin de l’urgence nationale déclarée dans le décret exécutif 13288, telle que invoquée pour les mesures supplémentaires prises dans le décret exécutif 13391, et telle que élargie par le décret exécutif 13391. L’ordonnance 13469 n’affectera pas toute action entreprise ou procédure en cours non définitivement conclue ou déterminée à la date de cette ordonnance, toute action ou procédure fondée sur un acte commis avant la date de cette ordonnance, ou tout droit ou devoir arrivé à échéance ou pénalités encourues avant la date de la présente ordonnance.

Seconde. 2. (a) Rien dans la présente ordonnance ne doit être interprété comme portant atteinte ou autrement affecté :

(i) l’autorité accordée par la loi à un département ou une agence exécutive, ou à son chef ; ou

(ii) les fonctions du Directeur du Bureau de la Gestion et du Budget relatives aux propositions budgétaires, administratives ou législatives.

(b) Le présent arrêté sera mis en œuvre conformément à la loi applicable et sous réserve de la disponibilité des crédits.

(c) Cette ordonnance n’a pas pour but de créer et ne crée aucun droit ou avantage, substantiel ou procédural, exécutoire en droit ou en équité par toute partie contre les États-Unis, ses départements, agences ou entités, ses dirigeants, employés. , ou agents, ou toute autre personne.

JOSEPH B. BIDEN JR.

LA MAISON BLANCHE,
4 mars 2024.

2024-03-04 18:03:40
1709587991


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