J’ai reçu un e-mail disant “répare ma baie”.

J’ai reçu un e-mail disant “répare ma baie”.

Maria Kanellopoulou a évoqué un message offensant qu’elle avait reçu, mais aussi les complications auxquelles elle a été confrontée lorsqu’elle a eu le covid.

Un invité de l’émission ERT “Studio 4” a été retrouvé mardi (05/02) à midi Maria Kanellopoulou.

Entre autres choses, la célèbre actrice a parlé de la dernière fois où elle était invitée dans l’émission en question et s’est concentrée sur un message précis qu’elle avait reçu d’une femme, qui c’était particulièrement offensant.

“La dernière fois que j’étais ici, j’ai eu un retour terrible. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé combien de personnes regardaient la série, combien ils l’aimaient et combien de personnes m’aimaient aussi. Pourquoi pas à part mon gendre qui m’aime beaucoup et me dit ‘Maraki, tu sais quel est ton diplôme ?’ C’était comme si tu étais ici dans notre cuisine en train de parler. Que tu ne fais pas semblant. Et c’est vrai. Je n’ai aucune raison, je ne cache rien.

Et elle me laisse une dame sur mon email, qui est la même depuis que je suis député, et elle me dit “camarade, tu as gagné tellement d’argent, tu ne vas pas réparer ta baie, qui est si mauvaise ?” Tout d’abord, il me dit que tu as gagné tellement d’argent, je dis où ?

À un autre moment de son entretien, Maria Kanellopoulou a parlé de la souffrance qu’elle a vécue à cause du symptômes d’un long covid et quel impact cela a eu sur sa psychologie.

«J’ai fait l’été 22 covid et long covid avec une vie très dure. J’ai beaucoup souffert sans pour autant vivre si durement la maladie elle-même. J’ai eu une pneumonie, mais je ne l’ai pas fait parce que d’autres personnes sont arrivées au para cinq. Pendant un an, j’ai été dans un état de panique terrible avec de nombreux problèmes. J’ai traversé une longue période de perte d’emploi. À un moment donné, j’ai dit : Bon sang, maintenant que je me sens un peu mieux, envoie-moi un travail.

De toutes les choses que j’avais faites, celle qui m’a le plus coûté en tant que symptôme était ce que l’OMS décrit comme un brouillard cérébral. Je ne pouvais pas me concentrer et conduire. Pensez que j’allais dans mon village et lisais dix livres et le premier été et pas mal et le deuxième j’avais dix livres devant moi, je parcourais cinq pages et je revenais pour voir ce que je lisais. Moi qui retiens les poèmes par cœur.

J’avais très peur et j’avais peur. Cela a fait remonter à la surface beaucoup de dépression, des difficultés à communiquer. Un médecin quand j’ai commencé à pleurer m’a dit M. Kanellopoulou tu es tombé malade, tu n’as pas commis de crime, pourquoi tant de culpabilité ? Ils me disaient : allez bébé, tu es sur la plage et qu’est-ce que ça veut dire que tu ne peux pas conduire ? Je leur ai dit que je prendrais un taxi parce que je me demandais si je mettais quelque chose dans la voiture ou si je heurtais quelqu’un. C’était une chose que je ne pouvais pas partager. Je le vivais et je l’avais intériorisé. J’étais paniqué et je disais que je n’apprendrais pas cette phrase.

Je suis allé à l’hôpital de Kalavryton quatre fois. J’avais le cœur rapide, le souffle court, je ne pouvais pas marcher. Pour marcher 20 mètres jusqu’à chez moi, je me suis arrêté trois fois. Je ne pouvais pas respirer“, il ajouta.

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