Seul leader européen à maintenir des liens ambigus avec le Kremlin, le souverainiste hongrois Viktor Orban a attendu le sommet qui s’est achevé vendredi à Bruxelles pour féliciter Vladimir Poutine pour sa réélection. Difficile de ne pas y voir une provocation: l’aide à l’Ukraine était une nouvelle fois la pièce de résistance du sommet. Et, lorsqu’il s’agit d’Ukraine, Viktor Orban a déjà à plusieurs reprises agi comme perturbateur lors de ces grands raouts. Une nouvelle fois, il a «marqué le coup», à sa manière.
Lire aussi: Mieux armer l’Ukraine et dynamiser leur propre défense, le dilemme des Européens
Cet article vous intéresse?
Pour profiter pleinement de nos contenus, abonnez-vous dès maintenant à partir de CHF 9.- le 1er mois.
CONSULTER LES OFFRES
Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:
- Accès illimité à tous les contenus disponibles sur le site web.
- Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l’application mobile
- Forfait de partage de 5 articles par mois
- Consultation de la version digitale du journal dès 22h la veille
- Accès aux suppléments et à T, le magazine du Temps, au format e-paper
- Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés
Déjà abonné(e) ?
Se connecter