Mona Zaki : Ahmed Helmy est le meilleur homme que j’ai jamais rencontré… et l’expérience de la maternité après 40 ans est effrayante

Mona Zaki : Ahmed Helmy est le meilleur homme que j’ai jamais rencontré… et l’expérience de la maternité après 40 ans est effrayante



Mohammed Shaban


Publié le : samedi 23 mars 2024 – 9h41 | Dernière mise à jour : samedi 23 mars 2024 – 09h41

L’actrice Mona Zaki a déclaré qu’elle et son mari, l’artiste Ahmed Helmy, échangeaient des baisers chaque fois qu’ils se rencontraient, que ce soit en quittant la maison ou en revenant. Enseigner à leurs enfants l’importance d’exprimer l’amour et l’affection et de les établir dans leur vie.

Elle a poursuivi lors du podcast « Big Time » avec le journaliste Amr Adeeb, diffusé sur « MBC1 » vendredi soir : « Chaque fois qu’on se voit et qu’on sort, on revient et on s’embrasse ; Parce que nous apprenons à nos enfants à faire cela et nous y sommes habitués.

Elle a exprimé son grand amour pour son mari, l’artiste Ahmed Helmy, malgré 20 ans de mariage, le décrivant comme « le meilleur homme qu’elle ait jamais rencontré dans sa vie après son père ».

Elle a ajouté que « Helmy » lui a été d’un grand soutien et d’un grand soutien lors de sa confrontation aux critiques. Parce qu’il connaît ses bonnes intentions et apprécie la nature de son travail, il lui rappelle toujours la nécessité d’ignorer les opinions des personnes qui ne la connaissent pas et qu’elle ne connaît pas en dehors du domaine de l’art.

Elle a expliqué que certaines personnes confondent art et médias, pensant que l’art n’est qu’un moyen de donner des conseils, alors qu’en réalité l’art et les médias sont deux choses différentes.

Elle a parlé de son expérience de maternité après l’âge de quarante ans, la décrivant comme difficile et effrayante, affirmant qu’elle s’efforce de leur fournir tout ce dont elles ont besoin et de les rendre heureuses, d’autant plus que le sentiment de ne pas être assuré de rester avec les enfants car une longue vie constitue pour elle un lourd fardeau.

Elle a évoqué son fils, « Salim », qu’elle a décrit comme semblable à « Adel, le fils des bonnes personnes » dans la série « Sahar al-Layali », car il a une haute moralité et un bon goût, tandis que son Son frère de 7 ans l’inquiète en raison de son comportement et de son incapacité à anticiper sa réaction.

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