Un équipementier de l’industrie automobile a perdu la bataille fiscale face au fisc – The Irish Times

Un équipementier de l’industrie automobile a perdu la bataille fiscale face au fisc – The Irish Times

Une entreprise qui fournit des composants à l’industrie automobile a perdu une bataille de 3,38 millions d’euros contre les autorités fiscales concernant l’impôt sur les sociétés et la retenue à la source sur les dividendes (DWT).

La Commission de recours fiscal (TAC) a statué qu’une cotisation à l’impôt sur les sociétés de 1,77 million d’euros pour les années 2015 à 2018 et une cotisation DWT de 1,6 million d’euros en 2017 et 2018 émises à l’entreprise devaient être maintenues.

Le principal problème entre l’entreprise et Revenue était que l’entreprise versait un montant cumulé de 14 millions d’euros à des fiducies de prévoyance pour les employés, ce qui, selon l’entreprise, faisait partie d’une stratégie globale visant à récompenser et à inciter les employés.

Cependant, Revenue a fait valoir qu’« aucun élément factuel ou juridique n’a été avancé pour étayer l’affirmation selon laquelle les fiducies de prestations aux employés ont été conçues et exploitées dans un but autre que l’évasion fiscale ».

L’entreprise a enregistré des bénéfices bruts cumulés de 28,2 millions d’euros entre 2010 et 2014, mais a réduit son impôt sur les sociétés en payant 14 millions d’euros de « charges de retraite » aux trusts.

En 2013 et 2014, le bénéficiaire effectif de l’entreprise, appelé GO dans la décision anonymisée, a reçu deux distributions des trusts, pour un total de 10,7 millions d’euros.

Revenue a fait valoir avec succès que le seul objectif des fiducies était de retirer des fonds de l’entreprise en franchise d’impôt.

Revenue a en outre soutenu que la déduction demandée par l’entreprise pour l’achat des fiducies avait été refusée aux fins de l’impôt sur les sociétés, au motif qu’aucune déduction n’était admissible dans le calcul des bénéfices d’une opération relative à une distribution.

Les revenus ont également indiqué que le paiement de fonds par l’entreprise pour acquérir les fiducies de prestations aux employés constituait l’acquisition d’immobilisations et ne pouvait donc pas être réclamé comme une déduction admissible aux fins de l’impôt sur les sociétés.

La commissaire aux appels en matière fiscale, Claire Millrine, a conclu qu’il ressortait clairement de la preuve que les fiducies de prestations aux employés n’avaient rien à voir avec la récompense ou l’incitation des employés de l’entreprise, mais qu’elles avaient été mises en place dans le seul but de bénéficier au propriétaire véritable de l’entreprise. ALLER.

Elle a déclaré que la société n’avait réussi à identifier aucune justification commerciale pour les transactions.

Mme Millrine a déclaré que lorsqu’une somme d’argent était transférée par l’entreprise aux différentes fiducies, la motivation était de bénéficier d’un avantage non imposable pour GO et d’obtenir une déduction fiscale pour la totalité du montant du bénéfice brut.

GO ne réside pas ici et n’est pas un employé de l’entreprise, qui est un fabricant de composants pour l’industrie automobile.

2024-06-07 20:03:45
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