2024-06-10 00:10:38
Avec l’embauche de Don Waddell et John Davidson devenu conseiller, toutes les discussions ont porté sur Waddell et ce qu’il apporte aux Jackets. Ce à quoi il fallait s’attendre. Mais revenons également sur le temps passé par Davidson ici.
Lorsque Davidson a été embauché en 2012, les Jackets étaient une blague. Davidson a été le premier employé du front office possédant une véritable expérience du hockey que les Jackets ont embauché pour diriger les opérations de hockey. Notez comment j’ai dit cela. Oui, Dougie Mac avait de l’expérience au hockey, mais jamais au front office.
La première décision de Davidson a été de licencier Scott Howsom et de le remplacer par Jarmo Kekelainen. Ainsi, les Jackets sont entrés dans l’histoire en ayant le premier directeur général né en Europe. À ce stade, on peut se demander dans quelle mesure JD a contribué aux décisions concernant le hockey, mais il est raisonnable de supposer qu’il a été, au moins, consulté sur les décisions importantes.
Par exemple, le licenciement de Todd Richards et l’embauche de John Tortorella. Il ne fait aucun doute que le trio composé de Davidson, Jarmo et Torts a mené les Jackets à travers leur période la plus réussie, ce qui s’est traduit par quatre apparitions consécutives en séries éliminatoires et un déplacement au jeu en ronde pendant COVID.
En 2019, Davidson est parti pour retourner dans les Rangers de New York, l’équipe avec laquelle il a connu ses meilleures années de jeu en tant que gardien de but. Ce qui amène la première question sur son héritage Jackets. A-t-il joué un rôle déterminant dans le départ d’Artemi Panarin ? Savait-il, avant de démissionner, qu’il serait embauché par les Rangers et mettrait un micro dans l’oreille de Panarin ? Nous ne le saurons jamais.
Mais le séjour de JD à New York fut court. Deux ans plus tard, presque jour pour jour, il est licencié et réembauché par les Jackets trois jours plus tard. Pourtant, son retour n’a eu aucun impact sur l’amélioration de la glace. Les seules actions publiquement visibles de Davidson depuis son retour ont été de licencier Jarmo et d’embaucher Don Waddell. Et ce sont eux qui diraient que Davidson a attendu trop longtemps – peut-être même des années de trop – pour licencier Jarmo.
Alors, quel est l’héritage des Blue Jackets de JD ? Je propose que c’est complexe. Un mélange de succès, d’échec et éventuellement de scandale. Ce qui semble approprié pour la première embauche du front office des Blue Jackets avec une expérience du hockey au front office.
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