Le bureau du SC doit vérifier le dépôt des plaidoyers « frivoles » – Pakistan

Le bureau du SC doit vérifier le dépôt des plaidoyers « frivoles » – Pakistan

2024-06-11 06:12:15

ISLAMABAD : Un siège de la Cour suprême a rappelé à son bureau de ne pas examiner ou recevoir à l’avenir toute requête déposée sans satisfaire aux exigences des dispositions de la Constitution, de la loi ou des règles de la Cour suprême de 1980, car il s’agirait simplement d’une requête « frivole ».

« Le bureau doit être vigilant sur cette situation juridique et s’acquitter de son devoir administratif à cet égard avec la diligence raisonnable », a observé le juge puîné Syed Mansoor Ali Shah dans une ordonnance de trois pages dont il est l’auteur.

Le juge Shah dirigeait un collège de deux juges comprenant également Mohammad Ali Mazhar qui avait examiné la requête en révision de Mohammad Ashraf.

Toute requête qui n’entre pas dans le champ d’application d’une disposition de la Constitution, de la loi ou du Règlement est « frivole » et ne doit pas être reçue, examinée par le greffier, conformément à la règle 5 de l’ordonnance 17 du Règlement.

La controverse en question tourne autour de la requête demandant une révision de l’ordonnance du tribunal du 8 novembre 2023 après le rejet de son appel contre l’ordonnance du 27 mai 2022 du greffier.

L’incompréhension du pétitionnaire, qui a déposé la demande de révision en personne sans obtenir d’avis juridique, était compréhensible, mais il était surprenant que le bureau ait examiné la demande de révision alors qu’il n’y avait aucune disposition pour une telle demande de révision ni dans la Constitution ni dans la loi. Règles, la commande a regretté.

Le tribunal a ensuite rejeté la demande de révision au motif qu’elle n’était pas recevable ou maintenable.

Le 27 mai, le bureau du registraire avait renvoyé l’appel pour non-recevoir pour le rétablissement de son appel initial dans lequel le Tribunal du Service fédéral (TFS), le 3 mai 2019, avait rejeté son appel de service concernant ses augmentations annuelles, ses prestations de retraite, etc. pendant la période où il est resté licencié du service du Wapda.

Lorsqu’on lui a demandé de préciser en vertu de quelle disposition de la constitution ou des règles du SC la requête en révision avait été déposée, le requérant n’a pu citer aucune disposition, indique le jugement, ajoutant qu’il n’était guère nécessaire de clarifier que l’article 188 (requête en révision) et l’ordonnance 26 du Les règles concernent la révision des ordonnances judiciaires et non des ordonnances administratives.

Publié dans Dawn, le 11 juin 2024

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