2024-08-13 06:05:48
Le Frictions entre le parti au pouvoir et l’opposition est devenu la constante de chaque séance du monocaméral. Le choc des forces est monnaie courante en ces huit mois de nouvelle composition législative en pleine parité.
Dans ce cadre, le pyjama joue dur dans son objectif de forer les bases du soutien à l’unité de l’interbloc Ensemble pour le Changement (JxC). En tant qu’espace d’origine hétérogène, il a – intérieurement – ses différences, mais « cela n’implique pas de rupture », ont déclaré les voix du Cambiomista.
De toute façon, Au sein du parti au pouvoir, ils voient favorablement la façon dont JxC se divise lors des différents votes. La loupe est allumée interne du banc radical entre les modérés de l’intérieur et les faucons de la capitale. Le claquement de la porte par la départementale Graciela Bisotto était un signe de cette candidature. «Ils ont l’interne», dit un péroniste.
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Parmi les faucons radicaux, il y a une autre lecture du départ du législateur de La Carlota qui formait un monobloc. Les bérets blancs renforcent la plainte du « rachat de testaments » du cordobanisme llaryorist pour rompre la parité. Il convient de rappeler le précédent précédent de la capitaine Karina Bruno qui interagit en alliée de la PJ.
Au milieu du choc des forces face à la parité, le parti au pouvoir tient des comptes détaillés de la division qui émerge lors des votes clés de l’interbloc d’opposition hétérogène. En dessous, la PJ célèbre le départ de Juntos. “Cela s’inscrit dans la dynamique des accords internes”, a réfuté un fervent radical.
Le dernier exemple de bouton était l’initiative de interdire l’activité des naranjitas ou l’entretien automobile qui promouvait le « libéral » Gregorio Hernández Maqueda lors de la dernière séance. À la PJ, on s’est frotté les mains en voyant que, parmi les pairs bellicistes de l’ancien carrioista, le juecismo ne l’accompagnait pas. Le PRO et les Alfonsinistas se sont divisés et l’UCR a tous soutenu Maqueda.
Dans le cadre d’un marathon et d’une séance plénière épuisante de plus de 10 heures, le projet de l’opposition a généré un débat animé dans la chambre législative avec de sévères accusations que les « libéraux » ont portées contre le péronisme. Face au rejet de la PJ, Maqueda a accusé le gouvernement Llaryora « de passer des accords avec les mafias » et d’être « politiquement responsable de vivre dans la loi de la jungle ».
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Les épées du parti au pouvoir l’ont traversé avec la même dureté dans leur réponse. “J’imagine que l’accusation va aussi au pouvoir judiciaire qui l’a rejetée”, a lancé une voix de la PJ dans son commentaire acide. De son côté, Nadia Fernández a critiqué : « Faites attention à la cruauté en politique » en rejoignant Maqueda en tant qu’adhérente de « l’école autrichienne ».
En plaçant la loupe sur le vote, le PJ a célébré la division de Juntos. En signe d’alignement, malgré l’alignement interne, l’UCR a soutenu l’initiative «libérale», tandis que le juecismo l’a rejetée (sauf pour Juan Pablo Peirone). Au PRO, il y a eu deux voix contre et une pour (Patricia Botta). Des deux Alfonsinistes, l’un ne l’a pas accompagné (Dante Rossi) et l’autre s’est abstenu. Bisotto était absent lors du vote qui a eu lieu vers 14 heures jeudi dernier.
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