- Selon un calcul de « BörseOnline », les actions génèrent des rendements plus élevés que l’immobilier.
- L’indice boursier MSCI World a réalisé un rendement annualisé de 6,6 pour cent au cours des 20 dernières années, alors que l’immobilier n’a atteint que 3,09 pour cent.
- L’expert Martin Hackler estime que les investissements en actions largement diversifiés tels que les ETF peuvent être moins stressants pour les investisseurs qui ne sont pas des investisseurs professionnels.
La question de savoir si l’immobilier ou les actions sont plus adaptés à la création de richesse est un sujet très débattu depuis un certain temps. Mais la vraie question est : où les investisseurs peuvent-ils espérer des rendements plus élevés ?
En fait, on peut répondre très clairement à cette question, comme une facture de « Bourse en ligne » montre. Parce que : Dans le passé, les titres ont pu générer des rendements plus élevés que le marché immobilier dans son ensemble. Cela n’est pas seulement dû aux efforts, à l’entretien et aux coûts de transaction liés à l’immobilier, mais se reflète également dans l’évolution des prix.
Immobilier vs actions : voici les rendements du passé
Les prix de l’immobilier ont augmenté de 84 pour cent au cours des 20 dernières années. Cela correspond à un rendement annualisé de 3,09 pour cent par an. Ce qui montre que les investisseurs immobiliers ne pouvaient pas battre les rendements du marché boursier. Le très populaire indice boursier MSCI World a atteint 224 pour cent sur la même période, ce qui correspond à un rendement annualisé de 6,6 pour cent.
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De plus, l’immobilier ne peut pas suivre le rythme d’autres facteurs tels que le risque et la diversification. Martin Hackler de Hackler et Hoffman Vermögensverwaltung est également d’accord avec ceci : « Lorsque j’investis sur le marché boursier mondial via des ETF, je suis si largement diversifié que je ne peux pas y parvenir avec un portefeuille immobilier si je ne suis pas un investisseur professionnel », déclare le expert. Statistiquement parlant, on peut calculer des valeurs attendues de sept à huit pour cent par an en bourse. Bien entendu, il existe également des fluctuations à court terme.
Un bien peut être détenu dix à douze ans : « Je ne bénéficie d’une exonération fiscale que lorsque je souhaite le vendre », précise l’expert. Une période de détention également recommandée pour les investissements en actions à grande échelle. «Si je fais désormais attention à mon taux de rendement interne, je dois alors faire beaucoup pour retirer sept à huit pour cent de mes investissements immobiliers», explique l’expert. Pour expliquer : le taux de rendement interne d’un investissement est le taux d’intérêt qui donne lieu à une valeur en capital nulle.
Dans le même temps, Hackler ne veut pas « briser le moule des investissements immobiliers », comme il le dit. Car il faut aussi faire la différence entre les investisseurs professionnels et les profanes. En fin de compte, la question est toujours de savoir quel investissement correspond le mieux à vos objectifs d’investissement personnels. Cependant, les investissements en actions à grande échelle via un ETF, par exemple, sont nettement moins stressants.
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