Home » Sports » L’appétit de Van Aert en vaut trois sur la Vuelta a España | Cyclisme | Sportif

L’appétit de Van Aert en vaut trois sur la Vuelta a España | Cyclisme | Sportif

by Nouvelles

2024-08-27 19:25:00

dans une image dicksianaoù la brume envahissait le paysage tôt le matin, les vagues insouciantes de l’Atlantique frappaient avec peu de virulence sur les rochers de la côte de Baiona, tout comme dans une crique cachée où se trouvaient un couple de courageux qui entraient dans l’océan à l’intérieur. . Ils sont vaillants parce que la Vuelta est passée du four andalou à la charmante terre galicienne, des fruits de mer, de bien des choses. enferd’un vert vif, en pull et cardigan. Un soulagement, en tout cas, pour les cyclistes qui travaillent dur, qui ne se réfugient plus dans des chaussettes pleines de glace, mais qui s’occupent plutôt du reste de la course sans la variable chaleur. Tant mieux pour eux, car ils ont encore des étapes avec de nombreuses étapes et un manque d’oxygène, de nombreuses falaises et montagnes escarpées. Un tourment pour le leader O’Connor ; une opportunité pour le reste. Assez de chapitres à écrire. Même si cela se déroule comme ce mardi, avec des candidats aussi sobres que contemplatifs, ce sera un roman plus plat. Van Aert le célèbre, Carpanta de la sprint et un coureur à l’appétit insatiable, un cycliste qui honore son métier avec le spectacle comme drapeau, une fois de plus vainqueur de l’étape, troisième jusqu’à présent de la Vuelta.

Le prologue du reste de la course a eu lieu à Vigo, de Ponteareas à Baiona, une étape de quatre ascensions – 2ème, 3ème, 2ème et, la dernière du 1er, l’Alto de Mougás -, un profil qui a encore une fois invité le drain . Quelque chose qui sans avoir besoin des Émirats arabes unis pour contrôler la course, ou à défaut de Visma, qui sont les deux équipes avec un gros budget et des coureurs habitués à donner le rythme des courses, est possible dans une Vuelta où les audacieux ont un prix. C’est la vie de pirate des cyclistes, celle de mettre les roues en marche, celle de tirer sans se retourner car il n’y a personne pour imposer sa loi, celle d’arriver sur place par surprise. C’est pourquoi plusieurs ont tenté la tentative, parmi lesquels Van Aert et McNulty – le premier leader de la course -, dès le départ. Même si, pour une fois, le peloton ne voulait pas de craquements, ni de gifles comme celles d’O’Connor ou de Yates, ils ont donc fait de leur mieux pour refuser le plus gros. La même chose s’est produite sur la première montagne, lorsque les attaques sont revenues et que le serpent multicolore a répondu, les cyclistes engloutis par la voracité du peloton. Logiquement, cela ne durerait pas.

Ainsi, sans avoir à s’épuiser plus que nécessaire, calculateur en main, AG2R a ignoré le contrôle, du moins de la part des coureurs qui ne se soucient pas du classement général. Il suffit de nouer Roglic, Carapaz, Mas ou Landa, peut-être un bouquet de plus. Ce n’est pas le Visma de l’année dernière, où les fuites étaient des feux d’artifice ; Ce ne sont pas les Émirats arabes unis, où Pogacar n’a pas de rival. Alors, tout à coup, le peloton a freiné. Jauja pour les combatifs Van Aert et Marc Soler, ainsi que Pacher (FDJ), Lecerf (Soudal) et Hollmann (Alpecin), qui ont finalement réussi à faire un écart au milieu et à enfoncer les dents profondément, car lorsqu’ils ont grimpé le deuxième Passé ils étaient déjà six minutes qui les éloignaient de la messe. Le but, la gloire, le laurier de scène les attendaient. Même si, supposait-on, le combat des élus restait. Mais non…

C’est Bora qui a réussi à démêler le peloton parfois dans le troisième passage, un rythme frénétique pour tester le leader O’Connor, aussi pour sélectionner les plus forts, ceux qui doivent laisser leur marque sur la Vuelta, peut-être quelque chose de plus. Il ne s’est pas retourné pour freiner. Quelque chose de similaire s’est produit sur la dernière falaise, puisque Soudal a mené la rébellion, Bora l’a soutenue, AG2R l’a maintenue et l’EF l’a agitée… Mais il n’y a pas eu d’attaque définitive mais plutôt une tentative de rythme ; rien qui ferait frissonner les grands grimpeurs. Sansea a terminé ce qui se passait, aguachirri et autre chose, sans révolution, sans rien. La fête était cependant en avance, où Van Aert s’est arrêté avant le dernier port pour écarter tout le monde sauf Parcher, qui l’a enduré en sueur. C’était un tuya-mina complet, deux coureurs pour une couronne. Et à sprintComme vous le savez, presque personne ne peut battre Var Aert, celui à l’appétit sans fin.

Vous pouvez suivre EL PAÍS Deportes dans Facebook et Xou inscrivez-vous ici pour recevoir notre newsletter hebdomadaire.




#Lappétit #Van #Aert #vaut #trois #sur #Vuelta #España #Cyclisme #Sportif
1724778541

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.