Courtois et Rüdiger sauvent un Real Madrid d’une phrénopathie

2024-09-18 00:21:29

Mardi 17 septembre 2024, 23h21

Parmi les caractéristiques qui ont fait du Real Madrid champion d’Europe il y a trois mois et demi, et qui avance à peine, une reste intacte : sa proverbiale capacité à s’imposer au milieu de la folie et même quand il le mérite le moins. Après une première mi-temps catastrophique au cours de laquelle elle n’avait aucun soutien autre qu’un prodigieux Courtois, l’équipe de Carlo Ancelotti a montré son esprit irréductible en seconde période pour débuter le nouveau format de la Ligue des Champions avec une victoire qui n’a cependant pas convaincu.

Les buts de Rüdiger et Endrick à la fin du match ont donné trois points aux Blancs, qui avaient pris l’avantage grâce à Mbappé après la pause mais ont vu leur victoire compromise à la suite d’un autre corner mal défendu qui a redonné espoir à un Stuttgart louable.

L’équipe allemande, audacieuse et superbement constituée, a mis dans les cordes le quinzième monarque du Vieux Continent, que même le retour de sa compétition fétiche n’a pas pu sortir du canapé sur lequel il est allongé depuis le début de la campagne. Mais l’effort final si souvent observé d’une équipe qui montre son meilleur visage quand tout est contre elle a laissé l’équipe souabe sans récompense, une autre victime de la loi du champion indomptable.

Real Madrid

Courtois, Lucas Vázquez (Militao, 46 ​​min), Carvajal, Rüdiger, Mendy (Fran García, 75 min), Valverde, Tchouaméni (Modric, 70 min), Bellingham (Endrick, 80 min), Rodrygo (Arda Guler, 75 min). minutes), Mbappé et Vinicius.

3

1

Stuttgart

Nübel, Vagnoman (Chase, min. 63), Rouault (Zagadou, min. 89), Chabot, Mittelstädt, Leweling, Stiller, Karazor, Millot (Demirovic, min. 75), Undav (El Bilal Touré, min. 75) et Führich (Rieder, minute 63).

  • Objectifs:
    1-0 : minutes. 46, Mbappé. 1-1 : min. 68, Undav. 2-1 : min. 83, Rüdiger. 3-1 : minutes. 90+6, Endrick.

  • Arbitre:
    Umut Meler (Turquie). Il a mis en garde Lucas Vázquez, Mittelstädt, Ancelotti, Valverde, Militao et Modric.

  • Incidences :
    Match correspondant à la première journée de la Ligue des Champions, disputé au Santiago Bernabéu.

Ancelotti a fait le onze avec la prudence que conseille un calendrier implacable. C’est pourquoi il a protégé un Militao boiteux en déplaçant Carvajal dans l’axe de l’arrière-garde. Restait tout le travail de tailleur de Carletto, qui a profité du retour de Tchouaméni et Bellingham pour former avec sa brigade d’élite dès l’entrejeu pour les débuts dans la compétition continentale maximale, celle qui donne sa vraie dimension à un tel effectif de stars. . Le problème est qu’ils appartiennent encore à des galaxies très lointaines selon ce qui s’est vu en première mi-temps contre Stuttgart, un véritable désastre.

Fidèle au scénario vaillant de Sebastian Hoeness, l’équipe allemande est sortie avec une grande vigueur, qui a récolté des arrivées, chacune plus nette, contre un rival ennuyeux et décousu. Courtois faisait office de sauveteur pour le Real Madrid, qui fuyait partout. Providentiel surtout le Belge résolvant un face-à-face avec Stiller qui a rempli d’inquiétude le Bernabéu. Mise en scène imprésentable du quinzième champion d’Europe, marionnette durant la première mi-temps.

L’absentéisme de Vinicius et Mbappé s’est fait remarquer au moment de tenter de bloquer la sortie de Stuttgart par derrière, très à l’aise dans la mise en place du jeu. Il est vrai que le “9” du Real Madrid a eu une occasion parfaite, mais à ce moment-là, Bondy et sa co-star avaient reçu une bonne tape sur les doigts de la part du respectable joueur à cause de ces taureaux défensifs qui ont puissamment contribué à un premier acte terrifiant pour les locaux, aidés par l’immense silhouette de leur gardien, le manque de but de l’équipe teutonique et le bois sans chute théâtrale dans la zone rivale de Rüdiger qui a tiré le Real Madrid du pétrin, puisque le VAR a corrigé l’erreur d’Umut Meler en déclarant un pénalité inexistante.

décousu

Face à un tel désaccord, Ancelotti a répondu en mettant fin au repos de Militao, en ramenant Carvajal sur son territoire de chasse habituel et en réprimandant ses troupes avec une « Carlettina » qui devait être vintage. Stuttgart n’avait pas eu le temps de s’installer quand Tchouaméni avait déjà ouvert le canal d’une passe millimétrée à la recherche de la course de Rodrygo, qui relevait la tête au bon moment pour donner la passe mortelle à Mbappé.

Une fois le choc passé, les Blancos se sont améliorés avec un Rodrygo électrique et ont marqué le deuxième avec un tir du bord de Vinicius qui a repoussé la barre transversale, après que Carvajal ait récupéré une belle livraison de Courtois. Le gardien belge a été magistral, mais il n’a rien pu faire sur la tête avec laquelle Undav a rétabli l’égalité au tableau d’affichage, profitant de la marque nonchalante de Tchouaméni sur un corner.

Ancelotti a réagi en enrôlant Modric pour tenter de contrecarrer la baisse d’énergie du Real Madrid, sans que l’entrée du Croate ne serve à réactiver une équipe étouffée. Ainsi, tandis que l’entraîneur de Stuttgart faisait monter les enchères en doublant le fer de lance, Carletto sacrifiait Rodrygo pour ajouter du contrôle avec l’apparition d’Arda Güler. Mais là où ce Real Madrid brille vraiment, c’est dans le manque de contrôle, comme cela a été une fois de plus évident dans une finale folle dans laquelle Rüdiger et Endrick ont ​​éteint le feu.



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