Le discours de Starmer : une recette pour des hausses d’impôts et des libertés perdues… Tout est cuit, rien n’est cuit

Le discours de Starmer : une recette pour des hausses d’impôts et des libertés perdues… Tout est cuit, rien n’est cuit

Le discours de Keir Starmer au congrès du Parti travailliste était censé être un vibrant appel aux armes, un cri de ralliement churchillien pour une nation en manque d’espoir et de direction. Mais hélas, ce n’était pas un coup de tonnerre.

Au lieu de cela, nous avons eu droit à une prestation sans intérêt, pleine de platitudes et peu consistante. La grande vision de la Grande-Bretagne qu’on nous avait promise s’est avérée aussi fragile qu’un rouleau de saucisse détrempé.

Commençons par le peu que nous avons entendu. Starmer est, comme il l’a dit, en « mission ». Une mission pour faire quoi, exactement ? Augmenter vos impôts, réduire vos libertés et ignorer votre voix. Il a de grands projets pour vider vos poches, mais quand il s’agit des détails, c’est un véritable trou noir.

Il a parlé de réformes, mais où était la feuille de route ? Il a évoqué le changement, mais n’a pas réussi à définir à quoi ce changement ressemblerait réellement pour le Britannique moyen. Son discours a été émaillé de vagues promesses de « croissance » et d’« équité », mais il a évité d’aborder les vraies questions difficiles qui comptent pour la vie des gens.

La seule chose qui semblait claire dans le discours de Starmer était son engagement indéfectible en faveur de l’augmentation des impôts.

La seule chose qui ressort clairement du discours de Starmer est son engagement inébranlable à augmenter les impôts. Il n’y a pas eu de dissimulation sur le fait que son gouvernement travailliste pillerait les caisses des Britanniques qui travaillent dur pour financer un appareil d’État pléthorique. Plus d’impôts sur les riches, plus d’impôts sur les entreprises : c’est la même vieille recette travailliste pour l’asphyxie économique, servie une fois de plus. La prétendue prudence économique de Starmer finira probablement par pousser les créateurs de richesses hors du pays, étouffant l’innovation et réduisant l’économie à un moment où nous avons besoin qu’elle se développe.

Et n’oublions pas ses projets de contrôle accru sur votre vie. Le parti travailliste de Starmer ne veut pas seulement diriger le gouvernement ; il veut microgérer votre existence. De l’interdiction de fumer dans les jardins des pubs à la limitation de la durée d’ouverture de votre bar local, le parti travailliste est déterminé à mettre en place un État providence dans tous les recoins de la Grande-Bretagne. C’est comme s’ils avaient décidé que ce dont le public britannique a vraiment besoin en ce moment, c’est de moins de liberté pour faire ses propres choix. Il ne s’agit pas d’autonomisation, mais d’un autoritarisme lent et rampant qui va éroder les libertés qui nous sont chères.

Mais le plus décourageant dans le discours de Starmer est peut-être son mépris total pour la voix du peuple. Il s’exprimait comme s’il avait le monopole de la sagesse, comme si les solutions imposées par le parti travailliste étaient ce qu’il y avait de mieux pour nous tous, indépendamment de ce que nous pourrions penser. C’est une approche condescendante qui suggère qu’il pense que l’on ne peut pas faire confiance au public britannique pour savoir ce qui est bon pour lui. Ce n’est pas du leadership, c’est de la condescendance déguisée en compassion.

Il ne s’agit pas de leadership ; c’est de la condescendance déguisée en compassion.

Dans sa quête pour apparaître comme une alternative sensée et managériale, Starmer a oublié l’essence même de ce qu’est un véritable leadership. Il ne s’agit pas de gérer le déclin avec plus d’impôts et plus de règles. Il s’agit de libérer le potentiel du peuple britannique, de lui permettre de conserver une plus grande part de ce qu’il gagne et de lui donner la liberté de faire ses propres choix sans que la main lourde de l’État ne pèse constamment sur lui.

Ainsi, même si Starmer a prononcé son discours avec toute la gravité dont il était capable, il est tombé à plat. Il n’y avait pas d’idées nouvelles et audacieuses, pas de cri de ralliement pour un avenir meilleur, juste la même vieille stratégie du Parti travailliste : taxer plus, contrôler plus et ignorer le peuple. Ce n’était pas un coup de poing, mais il a réclamé des saucisses. Quant au reste, on ne peut qu’espérer que le public britannique verra au-delà de cette rhétorique creuse et exigera quelque chose de bien plus substantiel.

Claire Bullivant, rédactrice en chef

é[email protected]

Claire est la fondatrice et rédactrice en chef du Conservative Post et a été co-fondatrice de l’Organisation démocratique conservatrice.

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