Cela peut toujours empirer, quotidien Junge Welt, 1er octobre 2024

2024-10-01 01:00:00

La Journée allemande est si belle : célébrations du 3 octobre 1992 à Dresde

Dans cette édition de la chronique radio, nous ne nous fâcherons pas du fait que les premiers ministres sont en train de fermer 20 stations pour que l’AfD n’ait pas à le faire elle-même plus tard. Nous nous en soucierons une autre fois ; cela ne servira à rien avec le temps. Aujourd’hui, passons à quelque chose de sans importance, le 3 octobre. Nous sommes ouverts le jour de l’unité 1992 Jugendradio DT 64 une production injustement oubliée. Trois heures après la diffusion en direct, des milliers de néo-nazis ont pris d’assaut la forêt de Teutoburg, la République fédérale d’Allemagne a été dissoute, le roi Kurt de Saxe a fondé la Communauté des États fédéraux indépendants (GUBL) avec le reste de l’émission et, bien sûr, Bien sûr, le chancelier Kohl a dû être abattu sur la lune avec un V2. Ce grotesque ne semble que légèrement exagéré par rapport à la réalité de 2024 : les néo-nazis prennent d’assaut les parlements, l’Est n’élit plus les partis de la RFA et ce n’est qu’une question de temps avant que le chancelier Scholz ne soit envoyé dans le désert. Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. La suite sera encore pire, promis !

Pendant que la république divisée fait toute une histoire d’unité, entrons dans le cinéma de tête des vagues culturelles. Ils veulent nous montrer jeudi les films audio suivants: 15h05, Bayern 2: »Parmi nous” par Dana de Suffrin ; Au début des années 1970, tout était super compliqué au Café Willkür de Munich (BR 2024, diffusion originale). 18h05, Culture NDR: »masse d’êtres humains”basé sur le drame révolutionnaire d’Ernst Toller de 1919 (rapport de non-remise 2019). 18h30, Culture DLF: »Robert, moi, Carnival et les autres«version audio du roman « Les fils meurent avant les pères » de Thomas Brasch (rapport de non-remise, RIAS Berlin, DTS 1977). 20h03, WDR5: »L’écriture d’une femme bleu pâle« de Franz Werfel, lu par Michael Müller.

Sinon à la radio cette semaine : Nous avons Stadtstreicher en hiver il y a 50 ans »Herbergssuche«accompagné de Percy Adlon (BR 1974, mardi, 22h03, DLF Kultur). La sirène Simon Rattle s’est produite avec le Mahler Chamber Orchestra en mai, il y avait des Mozart »Symphonies n° 39, n° 40 et n° 41«et le maître dirigeait de sa tête, entouré des musiciens et « avec des gestes expressifs ». Eh bien, vous ne pouvez pas le voir à la radio. (Vendredi, 20h03, WDR3). Mathias Grefrath et Tom Schimmeck ont ​​présenté une première évaluation détaillée de l’ignorance artificielle : »Luddite – L’IA et nous«premier épisode d’une série en cinq parties (WDR 2024, samedi, 13h30, dimanche, 18h30, WDR5). Martina Groß était dans un Los Angeles en déclin et est revenue avec un long métrage, »LA Dreams – Une métropole se répare«. Ou non. (Culture DLFsamedi, 18h05, Culture DLFdimanche, 20h05, DLF) Les collègues suisses dînent samedi soir “Le malentendu” d’Albert Camus sur Internet (SRF 2012, 20 heures, Culture SRF2).

Le dimanche, trois chaînes présentent chacune indépendamment un reportage sur le thème de l’âge. Tout d’abord quelque chose de pratique : « Enterrer grand-mère »une pièce radiophonique pour enfants de Birgit Schössow (WDR 2024, 7h04, WDR5). Puis les choses deviennent plutôt brutales : »Bien sûr, nous manquons de personnel soignant !«Harald Friedel accuse dans son film « 24 heures » ; il a illustré la misère des quelque 62 000 infirmières gériatriques d’Europe de l’Est exploitées en Autriche et la situation intenable des personnes âgées (9h05, Ö 1). Enfin : la production du drame par Ulrich Lampen“Le père” par Florian Zeller. Le rôle titre est interprété par Peter Fricke (HEURE Dimanche 2019, 14h04, Culture RH2).



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