La révision du LIPE du deuxième trimestre a été modifiée

La révision du LIPE du deuxième trimestre a été modifiée

La réforme des sanctions mentionnée dans le décret législatif. 87/2024en application de la loi d’habilitation à la réforme fiscale, n’est pas intervenu sur la communication en question.

Par conséquent, le régime de sanctions précédent continue de s’appliquer également aux données du deuxième trimestre 2024 (ainsi qu’aux trimestres suivants, sauf nouvelle intervention).
L’inchangé art. 11 paragraphe 2-ter du décret législatif. 471/97 établit qu’en cas de transmission omise, incomplète ou infidèle des données de règlement périodiques – dans le délai légal – la sanction administrative applicable est comprise entre un minimum de 500 et un maximum de 2.000 euros.

Il reste possible de réduire de moitié l’amende susvisée (donc jusqu’à un montant compris entre 250 et 1 000 euros) si l’assujetti, dans les 15 jours suivant l’expiration du délai :
– transmet la communication qui n’avait pas été transmise auparavant ;
– corriger la communication précédemment effectuée de manière incorrecte.

Sans préjudice du fait que le montant de la sanction n’a pas été modifié, certaines innovations ont été introduites pour la détermination du repentir volontaire.

Les changements sont déjà applicables aux violations commises pour les données du deuxième trimestre 2024.
En fait, la réforme des sanctions conformément au décret législatif. 87/2024 s’applique aux violations commises à partir du 1er septembre 2024 (comme le prévoit expressément l’article 5 du décret) et celles qui font référence à la communication en question sont considérées comme parfaites à la date du délai de mise en conformité (voir, bien que pour paiements insuffisants le CM 10 juillet 1998 n. 180sous-art. 13, et, en termes généraux pour LIPE, la résolution. Agence des revenus n. 104/2017).

À la lumière des innovations mentionnées, dans le cas où, pour régulariser la communication omise ou incorrecte, on se prévaut de l’institut de repentir actif ex art. 13 du décret législatif. 472/97, la réduction des sanctions est actuellement égale à :
– au neuvième du minimum, si la régularisation intervient dans le 90ème jour suivant l’infraction (lettre a-bis), soit 55,56 euros (27,78 euros dans les 15 jours) ;
– au huitième du minimum, si la régularisation s’étend du 91ème jour suivant l’infraction jusqu’à la date limite de dépôt de la déclaration relative à l’année au cours de laquelle l’infraction a été commise (lettre b), soit 62,50 euros (31,25 euros en 15 jours );
– au septième du minimum, si la régularisation intervient après le délai de dépôt de la déclaration relatif à l’année au cours de laquelle l’infraction a été commise (lettre b-bis), soit 71,43 euros (35,71 euros dans les 15 jours) ;
– au sixième du minimum, après le projet de pièce justificative à l’interrogatoire non précédé de PVC et sans demande d’adhésion (lettre b-ter), soit 83,33 euros (41,67 euros dans les 15 jours) ;
– au cinquième du minimum, après la PVC, sans communication d’adhésion et avant le projet de document instrumental au contre-interrogatoire (lettre b-quater), soit 100 euros (50 euros dans les 15 jours) ;
– au quart du minimum, après le projet de document instrumental au contre-interrogatoire, précédé de PVC et sans demande d’adhésion (lettre b-quinquies), soit 125 euros (62,50 euros dans les 15 jours).

Elle est régularisée par l’envoi d’une communication de remplacement

Les méthodes de régularisation, faisant appel à l’institution du repentir, ont été décrites dans la résolution. Agence des revenus n. 104/2017.

Si vous envisagez de régulariser une communication omise, incomplète ou incorrecte, avant de soumettre la Déclaration de TVA relative à cette année (par exemple avant le 30 avril 2025 en cas d’intérêts), une communication remplaçant la précédente doit être adressée, accompagnée du paiement de l’amende visée au susvisé. art. 11 virgule 2-ter del DLgs. 471/97.
La correction des données peut également être effectuée en remplissant le formulaire VH lors du dépôt de la déclaration annuelle de TVA.

Si les omissions ou les irrégularités ne sont pas corrigées dans la déclaration annuelle, une déclaration complémentaire doit être présentée, payant à la fois la pénalité pour la violation de l’obligation de communication (art. 11, paragraphe 2-ter du décret législatif 471/97) et celle pour la violation déclarative en vertu deart. 5 del DLgs. 471/97.

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