Les plaintes ont été recueillies par un cabinet d’avocats de Houston
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Hier, le cabinet d’avocats texan Buzbee et l’AVA Law Group ont tenu une conférence de presse à Houston au cours de laquelle ils ont annoncé qu’ils représentaient plus de 120 personnes, hommes et femmes, qui envisageaient de poursuivre Sean Combs ou ses proches.
Il semblerait que plus de trois mille personnes aient contacté le studio en se disant victimes de Diddy. Le premier épisode remonte à 1991 et la plus jeune victime n’avait que 9 ans. Tous les cas seront classés individuellement. Parmi les accusés, outre le magnat, figurent des banques, des sociétés pharmaceutiques et des hôtels.
L’avocate de Combs, Erica Wolff, a répondu en affirmant l’innocence de son client, qualifiant les allégations de « sans fondement » et de « diffamatoires ». Il a également condamné le “cirque médiatique irresponsable” qui s’est développé autour de cette histoire.
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En outre, ces derniers jours, l’enquête sur les crimes de Combs s’est étendue à l’échelle internationale. Les autorités britanniques recherchent actuellement d’éventuelles victimes au Royaume-Uni. Selon un rapport, des enquêteurs américains se seraient rendus à Londres pour collaborer avec des détectives locaux, soucieux du fait que les abus du magnat ne se limitent pas aux États-Unis.
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