Balado scientifique | Un espoir pour la cosmologie

Par conséquent, découvrir des galaxies déjà immenses quelques centaines de millions d’années après le Big Bang a été une véritable surprise. Les données du télescope spatial James Webb ont montré que les premières galaxies semblaient être devenues si massives qu’aucune simulation ne pouvait les expliquer. Beaucoup ont commencé à penser que quelque chose n’allait vraiment pas dans notre théorie sur la naissance et l’évolution de l’Univers, le soi-disant « modèle standard de la cosmologie ».

Une nouvelle étude vient de paraître dans “Le Journal d’Astrophysique” par une équipe de chercheurs dirigée par Katherine Chworowsky, de l’Université du Texas à Austin, vient de donner un véritable élan à l’ancienne théorie : certaines de ces premières galaxies sont, en fait, bien moins massives qu’elles ne le paraissaient au départ. Et la « faute » s’ils nous semblent beaucoup plus grands et plus lourds réside dans les trous noirs centraux de certains d’entre eux, qui les font paraître beaucoup plus grands et plus brillants qu’ils ne le sont en réalité.

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