Suspicion du virus de Marburg à Hambourg : que se passe-t-il ensuite ?

2024-10-03 11:40:52

Nach dem Verdacht auf das Marburg-Virus in Hamburg hat das Gesundheitsministerium Ruandas in der Nacht auf Donnerstag mitgeteilt, dass die Zahl der nachgewiesen Infizierten im Land um sieben auf 36 gestiegen ist. 25 Personen befänden sich in Isolation und würden behandelt, elf Patienten seien gestorben. Die Suche nach weiteren Infizierten dauere an. Das Virus sei sehr schnell. Wenn es in den Körper gelange, beginne es sich innerhalb weniger Stunden rasch auszubreiten und zerstöre ihn, sagte Ruandas Gesundheitsminister Sabin Nsanzimana in einem Medienbeitrag, den sein Ministerium teilte.

Die Gesundheitsbehörden in Ruanda hatten den Ausbruch der hochgefährlichen Viruserkrankung Ende September bekannt gegeben. Bisher ist unklar, wo der Ausbruch seinen Ursprung hat. Laut Robert-Koch-Institut sind der Großteil der aktuell bekannten Fälle in Ruanda im Gesundheitssystem Beschäftigte großer Krankenhäuser. Über 300 Kontaktpersonen stehen demnach unter Beobachtung.

In Hamburg werden derzeit zwei Personen wegen des Verdachts auf eine Ansteckung mit dem lebensbedrohlichen Marburg-Virus behandelt. Das teilte die Hamburger Sozialbehörde am Mittwochabend mit. Demnach wurden die beiden Personen von der Feuerwehr mit einem Infektionsschutztransporter am Hamburger Hauptbahnhof zur Untersuchung und Isolierung in einen Spezialbereich für hoch ansteckende Infektionserkrankungen am Universitätsklinikum Hamburg-Eppendorf gebracht.

Mit dem ICE nach Hamburg gereist

Dort wurden nach Angaben eines Sprechers der Sozialbehörde umgehend alle medizinisch notwendigen Untersuchungen begonnen, um eine umfassende Diagnostik durchzuführen. Innerhalb von 24 Stunden könne demnach im Regelfall eine Vielzahl von Krankheiten diagnostiziert werden.

Un pompier portant des vêtements de protection se tient dans une ambulance des pompiers devant la gare centrale de Hambourg.dpa

Jusqu’à peu avant sa maladie, l’un des deux malades travaillait dans un hôpital au Rwanda où étaient également soignés des patients atteints du virus de Marburg. Les deux personnes ont pris l’avion du Rwanda à Francfort mercredi soir et de là, elles se sont rendues à Hambourg avec l’ICE. Pendant le voyage, l’une des deux personnes a contacté des médecins à Hambourg car elle craignait d’avoir été infectée au Rwanda. À leur arrivée à la gare centrale, la police fédérale a bouclé plusieurs voies.

Par mesure de précaution, les coordonnées des passagers du train qui auraient pu avoir des contacts avec les deux personnes ont été enregistrées, selon un porte-parole des autorités sociales de Hambourg. Les données des voyageurs aériens sont disponibles. Les mesures de quarantaine ne sont actuellement pas nécessaires. Le virus de Marburg se transmet par « contact direct et étroit de la peau ou des muqueuses ou par contact avec des fluides corporels ».

Il n’existe pas de vaccins approuvés

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la période d’incubation est de deux à 21 jours. Concernant les symptômes, l’OMS affirme que les symptômes du virus apparaissent généralement très brusquement avec une forte fièvre, de graves maux de tête et un malaise sévère. Des douleurs musculaires et des crampes surviennent souvent, et plus tard également de la diarrhée, des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La diarrhée pourrait durer une semaine.

L’apparence des patients dans cette phase est « fantomatique » : yeux enfoncés, visages inexpressifs et léthargie extrême. Dans les cas mortels, il y a des saignements, souvent dans plusieurs zones. La mort survient le plus souvent entre huit et neuf jours après l’apparition des symptômes et est généralement précédée d’une grave perte de sang et d’un état de choc. Il n’existe aucun vaccin ou traitement approuvé contre le virus.

Le virus de Marburg, étroitement apparenté au virus Ebola, doit son nom à la ville allemande car, en 1967, des travailleurs de laboratoire y ont été infectés par des singes tests importés d’Ouganda. À cette époque, 29 personnes sont tombées malades, dont sept sont décédées. Selon l’OMS, des épidémies se sont répétées depuis lors, notamment dans les pays d’Afrique de l’Est. Jusqu’à 88 pour cent des personnes touchées sont décédées. Mais selon l’OMS, le taux de mortalité peut être bien inférieur avec de bons soins de santé. Ainsi, les rituels funéraires impliquant un contact direct avec le défunt peuvent contribuer à la propagation.



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