Le conflit entre Justin Baldoni oui Blake Livelyco-stars du film ‘Ça se termine avec nous‘, a atteint un nouveau niveau avec le récent procès intenté par le rédacteur en chef contre le journal Le New York Times. Baldoni, ainsi que neuf autres plaignants, ont intenté une action en justice pour 250 millions de dollars, accusant le média de diffamation et de manipulation d’informations dans un rapport basé sur les accusations de harcèlement sexuel et de représailles de Lively. Ce nouveau chapitre alimente le feu d’une polémique qui a ébranlé Hollywood.
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Le procès de Blake Lively contre Justin Baldoni expliqué
Le conflit a commencé avec la plainte de Lively auprès du Département des Droits Civils de Californie, dans laquelle elle accusait Baldoni d’avoir créé un environnement de travail hostile pendant le tournage de ‘Ça se termine avec nous‘. Dans sa plainte, l’actrice a allégué que Baldoni avait fait des commentaires sexuels inappropriés, montré des vidéos de femmes nues et ajouté des scènes sexuelles non consensuelles au scénario original. En outre, elle a déclaré que son mari, Ryan Reynoldsa participé à des réunions au cours desquelles il a confronté Baldoni au sujet de son comportement présumé.
Blake Lively dans ‘Ça se termine avec nous’ (image : Sony Pictures)
Le rapport publié par Le New York Times le 21 décembre, il a détaillé les accusations de Lively et a ajouté que Baldoni avait lancé une campagne de diffamation contre l’actrice après le tournage. Cet article, intitulé « Nous pouvons enterrer n’importe qui : à l’intérieur d’une machine à salir Hollywood », a servi de base à Baldoni pour intenter sa contre-action contre le média.
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Pourquoi Justin Baldoni poursuit-il le New York Times ?
La plainte de Baldoni, déposée le 26 décembre devant la Cour supérieure de Los Angeles, accuse Le New York Times de diffamation, d’atteinte à la vie privée et de fraude. Selon Baldoni et ses représentants légaux, le journal a manipulé les messages texte et les communications pour s’adapter au récit de Lively, en omettant le contexte clé et en déformant les interactions. Le procès allègue que l’histoire a sélectionné des messages qui présentaient le réalisateur sous un jour défavorable, ignorant les preuves qui réfuteraient les allégations.
Parmi les allégations mises en évidence dans le rapport figure l’entrée présumée de Baldoni dans la caravane de maquillage de Lively sans autorisation alors qu’elle allaitait. Baldoni nie catégoriquement ces allégations et soutient que les interactions susmentionnées étaient consensuelles, comme le démontrent les messages texte dans lesquels Lively signe avec un « X », le symbole universel du baiser.
Bryan FreedmanL’avocat de Baldoni a déclaré que Le New York Times “Cédé aux caprices de deux personnalités hollywoodiennes puissantes et intouchables”, faisant référence à Lively et Reynolds. En outre, il affirme que la publication a agi de manière irresponsable en omettant des preuves clés qui auraient discrédité les allégations.
Les preuves contre le Times et Lively
Le procès comprend des captures d’écran de messages texte et d’e-mails qui, selon Baldoni, prouvent que le rapport Fois C’est manipulé. Dans l’un des exemples cités, Lively aurait plaisanté sur les changements de costumes, suggérant que son personnage devrait paraître « beaucoup plus sexy ». Le procès réfute également que Baldoni ait insisté pour ajouter des scènes sexuelles non consensuelles, soulignant que l’actrice a refusé de rencontrer le coordinateur de l’intimité jusqu’au début de la production, arguant qu’elle « se sentait bien » avec les plans établis.
Justin Baldoni (image : Getty)
En revanche, Baldoni assure que les accusations selon lesquelles il aurait montré une vidéo « pornographique » à Lively sont infondées. Selon le réalisateur, le matériel en question était un enregistrement d’un accouchement à domicile, partagé comme référence pour une scène du film. Le procès le décrit comme un événement personnel sans connotation sexuelle, qualifiant l’interprétation de Lively d'”absurde” et Le New York Times.
Le rapport inclut également des conversations présumées entre les publicistes de Baldoni qui, selon le journal, ont participé à une campagne de diffamation contre Lively. Cependant, Baldoni affirme que les interactions ont été mal interprétées et que l’actrice, ainsi que son équipe, auraient lancé leur propre campagne médiatique contre lui avant le début de la production du film.
Avec ce procès, Baldoni cherche à blanchir son nom et à réfuter les accusations de Lively, ainsi qu’à tenir l’acteur pour responsable. Fois pour ce qu’il décrit comme un acte de « journalisme sensationnaliste et manquant de rigueur ». Pour sa part, le journal a défendu son article, affirmant qu’il avait été « minutieusement étudié et rapporté » et qu’il envisageait de se défendre vigoureusement devant les tribunaux.
Avec les informations de Variété.
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