Soins de santé en Sardaigne, trois heures d’attente aux urgences de La Nuova Sardegna

Sassari Les urgences sont le talon d’Achille de la santé publique italienne. Et dans la Sardaigne, comme dans d’autres régions du Sud, l’état de santé des services est plus grave. Quelques données pour mieux comprendre. Les temps d’attente aux urgences dépassaient trois heures sur l’île pour les patients inscrits avec un code vert. 162 minutes dans les Abruzzes. La moyenne nationale est 111 minutes pour les codes blancs et 147 pour les codes verts. 8,4% des Sardes n’atteint pas l’urgence dans une demi-heure. Le nombre de citoyens augmente abandonne le traitement.

Le tableau ressort de l’enquête menée par III Rapport civique sur la santé de Cittadinanzattiva présenté aujourd’hui, 22 octobre, au ministère de la Santé.

Les chiffres Il manque 4 500 médecins en moins et environ 10 000 infirmières. «D’un autre côté, la tendance de l’accès des citoyens aux urgences est à nouveau en hausse après le déclin provoqué par la pandémie – continue l’enquête -. Citoyens du Nord réalisés en 2019 et 2023 un meilleur accès, en chiffres absolus, comparés à ceux du centre sud. Ce sont les citoyens de Vénétie qui effectuent un très grand nombre d’accès avec un code blanc. Outre la Sardaigne, ils peinent aussi à contenir le temps passé au PS Abruzzes (162 minutes) pour les codes verts, et toujours Abruzzes (126)e Frioul Vénétie Julienne (128) pour les codes blancs”.

Les rapports Le domaine particulièrement critique est celui des soins hospitaliers, classés cette année à la troisième place par pourcentage de signalements (13,3% du total 24 043). Dans ce domaine, les plus grandes difficultés, 82,1%, se retrouvent aux urgences et aux urgences. En particulier, les citoyens rapportent longues attentes aux appels avant d’entrer en contact avec l’opérateur, encombrement des urgences, de longues heures d’attente, désorganisation dans la gestion des priorités et du manque de personnel”.

Selon Cittadinanzattiva « il est clair que le manque de personnel, le retard dans l’utilisation des fonds du Pnrr et la pandémie qui vient de se terminer ont presque réduit à « l’effondrement » un secteur déjà très critique.

Abandonner le traitement La Sardaigne, avec la Vallée d’Aoste et la province de Bolzano, figure en tête de liste des régions dans lesquelles le pourcentage de personnes renonçant au traitement est en augmentation. En 2023, les services de santé diminueront en moyenne de 8 %. Mais dans des régions comme la Sardaigne, des pointes de -25 % sont enregistrées. «L’écart est minime en Lombardie et en Toscane (-2%), suivis de l’Émilie-Romagne (-3%), mais dans 14 régions les pourcentages dépassent la moyenne nationale avec des pics de -25% en Sardaigne, -27% et -28% dans la Vallée d’Aoste et dans le province de Bolzano. C’est surtout au niveau des premières visites que les dispositifs régionaux peinent : celles-ci ont diminué en moyenne de 10%”

Les temps d’urgence-urgence 5,8% de la population, soit environ 3,4 millions d’habitants, ne peuvent pas joindre un service d’urgence en une demi-heure. Ce pourcentage inclut les citoyens sardes. La situation la plus critique concerne la population résidant dans les zones intérieures de la Basilicate (32,5%), suivie par celle de la province de Bolzano (9,16%) et de la Sardaigne (8,44%).

Maisons communautaires Selon le rapport de Cittadinanzattiva, «avec la mise en place de maisons communautaires, le pourcentage de personnes qui ne pourront toujours pas se rendre aux urgences dans les 30 minutes devrait diminuer à 964 mille (1,6% de la population)», conclut l’enquête. .

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