Comment un cadre supérieur de VW a joué son visa pour la Chine

C’est notamment cette affaire qui soulève la question de savoir si Sengpiehl n’est pas une figure d’un jeu plus vaste. Le gouvernement chinois veut-il finalement dire quelque chose à Volkswagen ? Possible. Il pourrait s’agir d’une attaque du gouvernement chinois contre Volkswagen, le principal partenaire économique européen du pays. Mais il s’agit peut-être simplement d’une erreur d’un dirigeant de haut rang que la Chine n’a pas voulu passer sous le tapis : selon un rapport rendu public par la police de Pékin, Sengpiehl aurait d’abord attiré l’attention des autorités thaïlandaises. parce qu’il fumait non seulement du cannabis, mais aussi de la cocaïne. Cette dernière pratique reste un délit punissable, même après le revirement à 180 degrés de Bangkok lorsqu’on fume de l’herbe. Ils en ont ensuite informé leurs collègues de Pékin, qui ont alors demandé à Sengpiehl de passer un test de dépistage de drogues à leur arrivée à Pékin.