Réminiscences de Mihail Sebastian et Richard Wagner, dans “Diamond Constellations”

2024-10-23 02:11:00

Dans le numéro le plus récent (octobre de cette année) de la revue de culture universelle Constellations Diamantines, sous le titre “Défense de la langue roumaine”, l’acad. Ioan Aurel Pop part d’un vers écrit par le père Alexe Mateevici il y a plus d’un siècle : « notre langue est une langue sainte ». Sous le titre “Défense de la langue roumaine”, le signataire de l’article plaide pour le respect et la sauvegarde de ce bien national unique, l’identité, d’une valeur inestimable.

“Les langues des peuples sont nées organiquement du besoin de communication, sans plans élaborés par les élites savantes, regroupées ou non dans des académies et instituts spécialisés”, souligne l’auteur, qui dénonce également “les attaques dirigées contre la langue roumaine”. langue”.

Après une analyse savante et raisonnée, on conclut : « Malgré ce manque de précision et d’exactitude, la langue roumaine vit et porte ses fruits, donnant à chaque instant la mesure de sa valeur pérenne ».

Sur le célèbre générique “Mind Game”, Doina Drăguț propose une tablette exceptionnelle, sous la forme d’un poème en prose intitulé “Il n’y a rien de ceux qui existent”. Un voyage métaphysique à travers l’existence (« Je tourne autour de moi/un lourd enchantement et j’ouvre un monde incompréhensible », « le chemin que j’ai choisi augmente les marches/dans les angoisses et les espoirs »), le poème emmène le lecteur sur un chemin de mystère et de découverte de soi. : “J’ajoute le soir à l’horizon puis ce qui reste se remplit de vent./vidé par mon départ le désert se déchaîne/Je m’interroge (l’émerveillement de mes espoirs)”. Pour parvenir à une fin apothéotique, de la révélation divine : “il n’y a rien/de ceux qui existent/il n’y a ni le premier/il n’y a ni le dernier/L’Un est cause de tout/Dieu est/en tout homme”.

Mihai Caba propose une mémoire et un hommage à l’écrivain Mihail Sebastian (117 ans après sa naissance) sous un titre concis mais suggestif : “Restitutio – Mihail Sebastian”. Sous son vrai nom Iosef Mendel Hechter, MS était le descendant d’une famille juive de Brăila. Ceci, comme le révèle l’auteur, a été « admis par la société roumaine dans son ensemble intellectuel bourgeois », mais « en même temps, l’intellectuel juif sera rejeté par le nationalisme roumain, exacerbé par un régime politique roumain antisémite des pays respectifs ». période” .

Le scandale provoqué par la préface désobligeante du roman “Deux mille ans”, signée par le mentor de Mihail Sebastian, Nae Ionescu, prenant une position dont “les véritables causes ne sont pas encore connues”, ainsi que par la parution du roman “Comment je devenu voyou”, “un solide essai polémique”. Le lecteur dispose également de données biographiques essentielles de l’écrivain, dont l’amour orageux pour l’une des célèbres actrices et chanteuses de l’époque, Leny Caler, véritable « femme fatale ».

Des aphorismes signés par Nicolae Mareș : “Politique actuelle = Désordre grossier et sale” (ici, en quelques mots vous avez toute la vérité, nn), “À travers sa création – Dieu est devenu l’alpha et l’oméga”. “Celui qui atteint trop haut n’a que deux options : descendre prudemment ou tomber dans l’abîme”.

“Essais presque politiques de Paul Valéry” est le titre du matériel d’Ion Popescu-Brădiceni, une présentation accompagnée de méditations et d’impressions de l’auteur de l’article du volume “Essais presque politiques” appartenant au poète, essayiste et théoricien littéraire Paul Valéry. Le livre, hébergé par la maison d’édition Tracus Arte, comprend 12 articles et compte 249 pages et a été présenté au Salon éditorial de l’Atelier international de poésie et de critique poétique “Soirées à Brădiceni”, la 28e édition. “Le cri inquiet de Paul Valéry dénonce une crise de l’esprit européen après avoir fait le point sur l’intelligence comme faculté et classe”, “Un écrivain qui vit son destin doit choisir lui-même l’existence et l’importance de ce qu’il entreprend, avec un consentement capital, parfois (auto -)sacrifier” ne sont que deux extraits de l’article qui susciteront certainement l’intérêt du lecteur.

Marin I Arcuș propose un article biographique (dans le numéro actuel vous pouvez lire la première partie, n. ed.) d’un grand intérêt : “Richard Wagner – une existence fascinante”. On nous présente des faits et des chiffres de la vie du grand compositeur allemand, en mettant l’accent sur l’histoire d’amour tumultueuse qu’il a eue avec Mathilde Wesendonck, la fille des associés d’une maison de soie new-yorkaise. Les sonates de Beethoven ne constituent qu’une partie du décor sur lequel se déroule cette histoire d’amour.

L’édition est illustrée de reproductions d’après Jim Warren, artiste américain connu pour ses illustrations de couvertures de livres et son art fantastique surréaliste, à qui Filip Tudora dédie un médaillon à la fin, sous le générique “Painting Drop”.

Signataires également : Carmen Manea, Nicolae Dima, Mădălina Virginia Antonescu, Lucia Cosmina Vlad, Ioan Gâf-Deac, George Petrovai, Gheorghe A. Stroia, Mircea Tutunaru, Gelu Dragoș, Ionel Popa, Florentin Smarandache, Ioan Voicu, Passionaria Stoicescu, Arjan Kallço , Jeton Kelmendi, Nicolae Grigorie Lacrița.



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