Selon l’étude Cyberlife, deux millions de jeunes sont victimes de cyberharcèlement

2024-10-23 19:14:00

Beleidigungen und Bedrohungen, Bloßstellungen und Belästigungen: Die Fälle von Cybermobbing an Schulen nehmen weiter zu. Während laut Ergebnissen der für Deutschland repräsentativen Studie ­Cyberlife des Bündnisses gegen Cybermobbing im Jahr 2017 noch 12,7 Prozent der befragten Jugendlichen angaben, über Kommunikationsmedien gemobbt zu werden, stieg diese Zahl bei einer Befragung 2024 auf 18,5 Prozent. Insgesamt sind demnach zwei Millionen Jugendliche deutschlandweit Opfer von Cybermobbing. Befragt wurden ins­gesamt 5911 Personen, überwiegend Schüler.

La cyberintimidation a lieu le plus souvent à l’école, dans 16 pour cent des cas tous les jours et dans 28 pour cent des cas une à plusieurs fois par semaine. Les personnes concernées sont également victimes de harcèlement sur Internet, entre amis et connaissances, pendant leur temps libre et dans les clubs.

54 % des agresseurs intimident leur victime « parce que cette personne le mérite ». 77 pour cent des jeunes concernés déclarent que la personne qui harcèle appartient à leur propre classe et est donc connue de la victime. 63 pour cent des parents des personnes concernées déclarent également que l’intimidateur de leur enfant ne leur est pas inconnu. Le président de l’alliance, Uwe Leest, a parlé d’un virus qui se propage dans tous les types d’écoles.

Selon les personnes concernées, la plupart des cas de cyberintimidation se traduisent par des injures et des insultes. La cyberintimidation prend également la forme d’exclusion, de propagation de mensonges et de rumeurs, de chantage et de menaces, de diffusion de photos embarrassantes ou privées, de création de faux profils et d’images, vidéos ou fichiers audio générés avec l’intelligence artificielle.

Plus d’un quart des personnes concernées risquent de se suicider

Parmi les victimes de cyberintimidation, 26 % au total ont pensé à se suicider. Par rapport à la précédente étude de 2022, ce chiffre a augmenté de deux points de pourcentage et concerne environ 500 000 jeunes. D’autres effets de la cyberintimidation comprennent la consommation d’alcool, de pilules ou d’autres drogues (13 %), un stress soutenu (30), la peur (30), la colère (43) et un sentiment de blessure (57).



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