Xabi Alonso contredit clairement cette théorie

Die Choreographie eines Champions-League-Herbstes gehört zu den Königsdisziplinen der Trainerkunst. Kräfte müssen eingeteilt werden, und Profis, die in den allerwichtigsten Partien eher nicht zur ersten Elf zählen, brauchen Spielzeit und Anerkennung. Außerdem ist es wichtig, dass die Rotation nicht zu Niederlagen führt, die in der Rückschau als Ursache für das Verpassen möglicher Erfolge erkennbar werden.

All diese Überlegungen müssen mitgedacht werden, um Xabi Alonsos Anmerkungen vom späten Mittwochabend zu verstehen. „Ich bin sehr zufrieden mit allen Spielern“, sagte der Trainer von Bayer Leverkusen nach dem intensiven, aber längst nicht in allen Phasen überzeugenden 1:1 bei Stade Brest, das mancher Beobachter aber auch mehrere Spieler als Enttäuschung empfunden haben.

Patrik Schick zum Beispiel, der zwar öffentlich nicht sprach, dem aber anzusehen war, dass er nicht glücklich war mit sich und diesem Abend. Zunächst hatte er noch einige gute Szenen, später habe das Spiel der Werkself aber „zu weit weg vom Tor“ stattgefunden, sagte Alonso. „Wir hatten zu wenig Raumgewinn, das ist der Grund warum Patrik nicht so gefährlich war.“

Schick zählte bereits in der vergangenen Saison zu den wenigen Spielern, die nicht im Bereich ihrer oberen Leistungsgrenze anlangten. In Brest erhielt er mal wieder eine Chance, nicht nur wegen Alonsos Überlegungen zur Kräfteeinteilung, der tschechische Nationalspieler spielte auch, weil Victor Boniface, der andere Zentrumsstürmer im Kader, eine wilde Woche hinter sich hat.

Avec le but vainqueur contre Francfort d’un côté, mais aussi un voyage chaotique avec l’équipe nationale du Nigeria, au cours duquel Boniface est resté bloqué douze heures dans un aéroport en Libye. Samedi soir, il a été impliqué dans un grave accident sur l’autoroute ; sa Mercedes s’est renversée. Boniface a posté des photos de sa main ensanglantée et de la voiture presque entièrement détruite et a remercié Dieu qu’il soit toujours en vie.

On ne sait pas quand l’attaquant légèrement blessé se remettra de ce choc et pourra rejouer, mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle Alonso commence désormais à accorder plus d’attention aux joueurs qui ont récemment été moins utilisés. A Brest, six professionnels ont joué avec Schick, Jonas Hofmann, Nordi Mukiele, Nathan Tella, Exequiel Palacios et le gardien Matej Kovar, qui n’étaient que très rarement dans le onze de départ ces derniers temps.

Des joueurs comme Granit Xhaka, Jérémie Frimpong, Edmond Tapsoba et Robert Andrich se sont d’abord assis sur le banc. Au moins Florian Wirtz a joué, qui a également marqué le but (24e), mais le peloton n’était certainement pas l’équipe de Leverkusen la plus forte imaginable. Un tel choix de personnel dans la catégorie reine demande du courage, car l’idée qu’avec un équipage différent, une victoire et un saut à la première place du classement aurait été possible est évidente.

Alonso, qui devra désormais se passer d’Amine Adli pendant des semaines après s’être fracturé le péroné à Brest peu avant la fin du match, a clairement contredit la théorie selon laquelle il aurait trop tourné : “Il est important pour l’équipe que tout le monde sente que “Une partie de l’équipe est qu’ils se sentent en confiance même lors d’un grand match de Ligue des Champions”, a déclaré Alonso.

Simon Rolfes, le directeur sportif, a suggéré qu’il pourrait en fait y avoir un problème caché ici. “L’année dernière, il n’y avait pas de deuxième trio à la fin, nous étions un groupe fort”, a-t-il expliqué. Il s’agit d’aborder une saison en équipe et de trouver un rythme. C’était le cas l’année dernière et peut-être encore cette année.

Le fait qu’Alonso trouve cet aspect plus important qu’une chance potentiellement améliorée de trois points, et qu’il soit capable de communiquer ces considérations de manière convaincante, est un signe de sa maturité.

“Bien sûr, nous voulions gagner, maintenant nous avons un point de plus”, a déclaré Alonso et a été clair : “Parfois, le sport des résultats, le football, va au-delà de la simple vision d’un match à l’autre.” .