2024-11-19 00:53:00
L’équipe clôture son année magique, celle de l’Euro Coupe et de l’enthousiasme populaire, avec une nouvelle victoire. Travaillé et souffert, mais électrisant par l’émotion finale (3-2). Un objectif de Bryan Saragosse En prolongation, ils ont battu la Suisse lors de la dernière journée de la Ligue des Nations.
Avec la première place du groupe assurée, sans détails sportifs en discussion, les joueurs de l’équipe nationale trouvent une fois de plus la motivation dans la garde de sujets qui semblent mineurs : la défense du maillot, l’engagement envers leur pays, atteindre le niveau d’exigence maximum demandé pour aller dans l’équipe de chacun. Des coups de pinceau pour agrémenter un match terne, dans lequel la Suisse ne joue pas beaucoup, et ne semble pas en avoir envie.
Luis de la Fuente Il est comme ces milieux de terrain nucléaires qui apportent toujours ce que le jeu exige. Caractère raisonnable, cohérence, normalité de l’action. Des athlètes qui résolvent des problèmes et qui ne transfèrent pas le ballon, comme s’il s’agissait d’un problème, à un autre coéquipier. À Tenerife, l’entraîneur décrète une équipe pleine de nouveautés et de noms qui exigent des minutes et un examen approfondi de leurs capacités.
début Parèdesle défenseur central de l’Athletic, joue enfin Mingueza Après trois convocations, le pivot du Barça, Marc Casadó, apparaît comme titulaire, Yeremy Pino reçoit une autre passe pour montrer son talent, Remiro défend le but après cinq titularisations pour David Raya… Ce que demande le match.
Il arrive que le football ne coule pas avec la même lucidité, les mêmes canaux de créativité ne soient pas activés. Quelques ressorts grincent lorsque Remiro doit frapper trois ballons en dix-huit minutes parce que le ballon ne sort pas proprement par derrière. Sans complexes, l’Espagne frappe le ballon pour que Morata puisse l’attraper ou Nico Williams cherche le rebond sur le deuxième jeu.
L’Espagne génère des occasions dès le début car, comme toujours, elle presse très haut, vole fréquemment près de la surface adverse et recherche des situations de tir avantageuses. Grimaldo, Nico et Pedri peuvent marquer rapidement, mais le but n’arrive que lorsque Morata invente un demi-but en relevant subtilement le ballon au-dessus de la tête d’un rival et l’affaire se termine par un voyage.
Morataque De la Fuente loue dans chaque question journalistique comme si elle était la réincarnation de Sainte Thérèse, accorde le penalty à Pedri comme le demandaient les tribunes en raison des problèmes de son compatriote. La loi de Murphy se propage, selon laquelle le pain grillé tombe toujours du côté du beurre. Échec Pédri le lancer, comme on l’appelait, et au deuxième rebond Yérémyun autre canari, le connecte au réseau.
La Suisse n’existe pas, Remiro n’est qu’un spectateur parmi d’autres, le match officiel ne donne pas grand chose, et l’incitation vient après la pause. Il y a toujours plus d’intérêt pour l’énigme du nouveau que pour la répétition du connu, aussi Morata soit-il. Débuts avec l’équipe nationale Trouverle garçon venu en Espagne à la recherche d’une vie meilleure depuis le Nigeria avec sa mère.
La deuxième période a débuté avec deux erreurs de Paredes, le défenseur central de l’Athletic. Dans le premier Monteiro il donne un coup de pied après l’avoir dépassé. Dans la seconde, l’attaquant suisse porte le ballon au pot après avoir battu Grimaldo dans la course et une défense erronée de Paredes. Un match ennuyeux que, du coup, les jeunes et les débutants réactivent.
L’équipe termine le match avec un attaquant inédit et rafraîchissant, Bryan Zaragoza, Samu et Bryan Gil. Deux dribbleurs sur les ailes, deux qui soulèvent les tribunes avec leurs feintes et coupures, et un finisseur à l’air rude qui finit les porcelets. Une alternative lumineuse à Lamine Yamal, Nico et Morata.
Bryan Gil montre le sens de ces matchs, où rien n’est en jeu, où apparaît l’ambition de ceux qui veulent conquérir le monde. L’attaquant andalou de Gérone subtilise le ballon face à la lenteur des défenseurs suisses et tire puissamment au but. Le match n’est pas fini car un coup de pied de Fabián à Sierro se termine par un penalty qui transforme Violence. Et dans le prolongement, la phrase : peine à Bryan Saragosse qu’il transforme en victoire.
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