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Traiter les anévrismes de l’aorte de manière mini-invasive

by Nouvelles

2024-11-29 09:34:00

Ein Laborversuch, der auf ein neues Medikament hoffen lässt, ein Gift, das man nicht vermutete, wo man es gefunden hat – beinahe täglich vermelden Forscher Erkenntnisse, die Hoffnungen oder Befürchtungen wecken. Wir fragen nach, was aus solchen Entdeckungen geworden ist.

Der ältere Herr, den Oberarzt Wojciech Derwich mit dem Ultraschallgerät untersucht, hat in doppelter Hinsicht Glück gehabt. Zum einen, weil seine Krankheit erkannt wurde, bevor sie ihn womöglich in Lebensgefahr gebracht hätte: Zufällig wurde bemerkt, dass sich an der Bauchaorta des Mannes ein Aneurysma gebildet hatte. Wenn eine solche Ausbeulung der Gefäßwand reißt, kann der enorme Blutverlust innerhalb kürzester Zeit zum Tod führen. 75 bis 80 Prozent der Menschen, die eine solche Ruptur erleiden, sterben daran.

Der zweite Grund, warum Derwichs Patient gute Laune hat, ist der Umstand, dass sein Aneurysma im Frankfurter Uniklinikum offenbar erfolgreich behandelt wurde. Die dortige Gefäßchirurgie ist Referenzzentrum für die Versorgung solcher Defekte, die gar nicht so selten sind: Etwa zwei Prozent aller Männer zwischen 65 und 75 Jahren sind betroffen; von ihnen werden rund zehn Prozent wahrscheinlich operiert. Ein Eingriff werde empfohlen, wenn die Aussackung einen Durchmesser von mindestens 5,5 Zentimeter habe, sagt Kyriakos Oikonomou, Leiter der Gefäßchirurgie.

Forschungsprojekt mit 4D-Ultraschall

Zur Expertise der Frankfurter Spezialisten gehört es, die Gefahr zu beurteilen, die von einem Aorten-Aneurysma ausgeht. Hierzu läuft ein Forschungsprojekt, in dem die Gefäßchirurgen mit Ingenieuren der Frankfurt University of Applied Sciences zusammenarbeiten; im April hat die F.A.Z. erstmals darüber berichtet. Ziel ist es, erweiterte Blutgefäße mithilfe von 4D-Ultraschall dreidimensional und im Zeitverlauf so darzustellen, dass erkennbar wird, an welchen Stellen sie reißen könnten.

Le stent peut également recouvrir les branches du vaisseau.Lucas Bauml

Le projet compare le diagnostic échographique à l’imagerie par tomodensitométrie. Des tests mécaniques sont également réalisés avec des échantillons de tissus. Selon Oikonomou, l’hôpital universitaire de Francfort est l’un des rares hôpitaux allemands à disposer d’un échographe 4D : « Mais il ne s’agit pas encore d’un examen standard proposé à tous les patients. Elle pourrait être utilisée dans la pratique clinique quotidienne au cours des dix prochaines années. » La nouvelle méthode ne doit pas remplacer les procédures de diagnostic précédentes, mais plutôt les compléter.

Les stents peuvent mesurer plus de 20 centimètres de long

Les anévrismes de l’aorte provoquent rarement des symptômes. Ils sont généralement découverts lors d’un examen des organes abdominaux pour d’autres raisons ou lors d’une échographie préventive, prise en charge par l’assurance maladie pour les personnes âgées ou les patients présentant des facteurs de risque. Un tel dépistage peut être réalisé par des angiologues ou des chirurgiens vasculaires. Si vous découvrez une déformation inquiétante de l’artère, les personnes concernées peuvent être aidées, par exemple à l’hôpital universitaire de Francfort. Aujourd’hui, une procédure mini-invasive est souvent suffisante, dans laquelle une prothèse, appelée stent, est poussée dans la zone déformée par une incision dans l’aine.

Oikonomou et ses collègues utilisent non seulement des composants standards, mais font également fabriquer des stents sur mesure par une entreprise spécialisée si nécessaire. Ils peuvent alors également recouvrir des branches où, par exemple, les vaisseaux qui irriguent les intestins partent de l’aorte abdominale. De telles prothèses peuvent mesurer jusqu’à 22 centimètres de long et 4,6 centimètres de large. Si nécessaire, plusieurs stents peuvent être enfilés ensemble. De telles interventions durent alors plusieurs heures et sont réalisées sous anesthésie, alors qu’une anesthésie locale suffit pour poser un simple stent.

Dans tous les cas, l’approche mini-invasive est plus douce que la chirurgie ouverte : avec des stents standards, la probabilité de complications est de un à deux pour cent, avec une chirurgie conventionnelle de trois à quatre pour cent, explique Derwich. Les prothèses peuvent rester dans le corps à vie, mais parfois, selon les mots d’Oikonomou, elles doivent être « retravaillées » : « Ce sont des parties exposées à des forces très élevées et à une maladie qui peut provoquer de nouveaux élargissements de l’artère principale au fil du temps. », explique le professeur. Un contrôle de suivi minutieux est donc important.

Comme l’homme plus âgé sur la table d’examen qui a reçu une prothèse aortique sur mesure. Cela fait huit jours depuis l’opération. Derwich est satisfait de ce qu’il voit sur le moniteur : le stent est correctement mis en place, l’artère fonctionne normalement. Le patient pourra bientôt rentrer chez lui. La probabilité que son anévrisme le mette à nouveau en danger est relativement faible. Oikonomou déclare : « Pour les patients qui reçoivent un stent, le risque à long terme de mourir d’une rupture de l’aorte est inférieur à cinq pour cent. »



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