2024-12-05 22:28:00
Une loi australienne a été approuvée, interdisant aux enfants de moins de 16 ans d’accéder aux médias sociaux, avec des amendes pouvant aller jusqu’à 32 millions.
Un nouveau arrive loi australienne ce qui changera sans aucun doute les habitudes de nombre de ses citoyens. Que prédit-il ? L’interdiction d’accès aux réseaux sociaux jusqu’à 16 ans.
En fait, le Parlement australien a approuvé un facture ce qui limite clairement l’accès aux réseaux sociaux à une partie plutôt sensible de la population.
Une loi qui a obtenu le soutien de la majorité et de l’opposition. Cela oblige les plateformes numériques telles que Facebook, Instagram, TikTok e X pour empêcher l’enregistrement de jeunes utilisateurs.
Sinon, le sanctions ils atteignent jusqu’à 32 millions de dollars. Le responsabilité pour garantir le respect de l’interdiction ça ne retombera pas sur les parents mais sur les entreprises technologiques. Pendant ce temps, des plateformes comme WhatsApp e YouTube ils pourraient être à l’abri des dispositions destinées à leur usage éducatif.
La nouvelle législation et ses conséquences générales
À une époque où je réseaux sociaux font désormais partie de notre quotidien, les soucis par les gouvernements sur sécurité des plus jeunes. En fait, il y a de plus en plus d’enfants qui l’utilisent, même si cela a un grand impact impact sur eux, les deux niveaux personnel Que sociale. À cet égard, l’Australie a décidé d’agir. Justement, entre 12 mois la loi entrera en vigueur limitera définitivement l’accès des jeunes aux médias sociaux. À cet égard, le gouvernement fournira en détail leliste des sites intéressés par l’interdiction. VousGov a fait une enquête sur le sujet et sur 77% des Australiens se sont déclarés à favorable à la nouvelle loi. Malgré l’approbation, certaines inquiétudes subsistent concernant le possibilité de contourner le blocage d’une manière ou d’une autre grâce à des outils spécifiques.
Le premier ministre Antoine Albanais défini la mesure «historique». Il a souligné la nécessité de protéger les enfants dans une société où les médias sociaux font partie de nos vies dès les premières années de la vie. Néanmoins, leapprobation de la loi elle-même qui vient de se produire une semaine il a élevé critiques. En particulier, Méta a exprimé son inquiétude. Pourquoi? Apparemment, ces délais serrés ont pu conduire à une consultation inadéquate. Au-delà de cela, il n’existe aucune preuve scientifique sur corrélation entre les médias sociaux et la santé mentale des jeunes. L’entreprise a proposé que la vérification de l’âge des utilisateurs soit effectuée directement par système opérateur du téléphone oumagasin d’applications. De cette manière, les plateformes sociales n’auront pas à collecter de données personnelles sensibles. Au-delà de cela, il est évident contre la loi le chiffre de Elon Musk.
Interventions dans d’autres pays
À l’échelle internationale, l’Australie est le premier pays à introduire une interdiction aussi stricte. Néanmoins, la question de l’accès des mineurs aux médias sociaux est déjà abordée dans d’autres pays. En fait, dans le États-Unis Plusieurs États ont mis en place des restrictions similaires. Tandis que, concernant Espagne e Franceils sont impliqués dans des propositions législatives visant à limiter l’accès aux enfants de moins de 16 ans. Ensuite, nous avons le Chine qui a adopté des mesures décidément plus sévères. En fait, ils sont nécessaires ici documents officiels pour l’identification, limitant la durée d’utilisation quotidienne pour les mineurs.
Tandis que dans Italie? Anna Ascanivice-président de la Chambre des députés italienne, a souligné l’importance de la loi australienne. A cet égard, il a exhorté leapprobation d’un projet de loi similaire en Italie qui a été présenté déjà en mai. Le projet de loi en question propose de interdire l’accès aux réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans. Au-delà, il demande à réguler l’activité des très jeunes influenceurs. Pour Ascani il faut intervenir rapidement pour protéger les mineurs et promouvoir une éducation en ligne plus informée. En fin de compte, tout cela nous fait comprendre à quel point l’avancée des médias sociaux inquiète les gouvernements du monde entier. Il s’agit notamment d’une priorité santé mentale et ça développement des plus jeunes qui se retrouvent catapultés en un seul réalité virtuelle.
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