2024-12-06 21:22:00
L’Iran produit du matériel presque de qualité militaire. Le plan est désormais de multiplier les capacités de production. La mise en service de nouvelles centrifugeuses à l’usine d’enrichissement d’uranium de Fordo entraînera une “augmentation significative du taux de production d’uranium enrichi jusqu’à 60 pour cent”, a indiqué l’agence de presse AFP citant un rapport confidentiel de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Le gouvernement iranien a le AIEA Des projets d’augmentation drastique de la production ont été communiqués et les premières mesures ont déjà été prises, a déclaré le patron de l’AIEA, Rafael Grossi.
Selon les informations, le taux de production est fortement enrichi à plus de 34 kilogrammes Carrière augmentation par mois. Au cours de la période de référence précédente, il s’agirait de 4,7 kilogrammes.
L’AIEA a exigé que L’Iran de lui assurer de manière crédible que l’installation ne serait pas utilisée pour produire de l’uranium à un niveau d’enrichissement plus élevé que celui indiqué. Aucune matière nucléaire déclarée ne peut être détournée. L’Iran doit de toute urgence accepter des contrôles plus intensifs de l’AIEA, a exigé Grossi.
L’Iran travaille avec de nouvelles centrifugeuses
Plus récemment, l’Iran a annoncé en novembre qu’il mettait en service de « nouvelles centrifugeuses avancées ». Ce sont des machines qui enrichissent l’uranium transformé en gaz. Ils le font tourner à des vitesses très élevées, augmentant ainsi la proportion d’isotope fissile U-235 pour diverses utilisations. Par cette annonce, le gouvernement iranien a répondu à une résolution précédemment adoptée par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA sur le programme nucléaire iranien, que l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis avaient soumise conjointement. L’Iran, l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont convenu la semaine dernière de rester en communication sur le programme nucléaire iranien.
En 2015, l’Iran a conclu un accord avec les États-Unis, la Chine, la Russie, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne pour restreindre son programme nucléaire. L’objectif était d’empêcher l’Iran de développer des armes nucléaires. En 2018, les États-Unis ont mis fin unilatéralement à l’accord sous la présidence de Donald Trump. Ils ont réintroduit des sanctions contre l’Iran, après quoi l’Iran a progressivement cessé de remplir ses obligations. L’Iran rejette les accusations selon lesquelles il souhaite construire une bombe nucléaire et souligne son droit d’utiliser l’énergie nucléaire à des fins civiles. Selon les experts, une tête nucléaire nécessiterait environ 50 kilogrammes d’uranium contenant 60 pour cent.
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