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Gouvernement Stellantis, preuve de compréhension : « Un nouveau départ pour les voitures italiennes »

by Nouvelles

2024-12-15 01:39:00

ROME — «Un nouveau départ pour Stellantis en Italie». Esquisser le début d’une deuxième phase dans les relations entre le gouvernement et le groupe automobile est le ministre du Commerce et du Made in Italy, Adolfo Urso. Phase qui coïncide avec le poste Tavares et qui débouchera, dès mardi, sur un accord entre le dirigeant de Meloni et l’entreprise née en 2021 du mariage entre FCA et PSA.

Hier matin au festival d’Atrejuà côté d’Urso, il y avait le responsable des ressources humaines de Stellantis en Italie, Giuseppe Manca. Thème? La manière italienne de relancer la voiture. Un passage préparatoire à l’arrivée au ministère, après-demain, de Jean-Philippeprerendito, responsable Europe du groupe. Il lui appartiendra de mettre sur la table le nouveau plan, de le partager avec les syndicats et Anfia, la signature des composantes, et de clôturer l’accord après un an et demi de hauts et de bas et d’âpres confrontations.

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Les innovations ne manqueront pas: de nouveaux modèles pour différentes usines, dont Mirafiori, Pomigliano d’Arco et Cassinola multiplication des versions hybrides pour répondre au marché et La confirmation d’Atessa en tant qu’usine européenne leader dans la production de fourgons. Des engagements qui devraient suffire à inaugurer une saison de dialogue. «Tavares n’est plus là, l’ancien PDG n’a pas compris la réalité», dit Urso depuis la scène du Circus Maximus. Et il ajoute : « Désormais, un nouveau départ est clairement visible en ce qui concerne les usines Stellantis de notre pays avec une relation de collaboration. L’objectif est de démontrer à tout le monde que nous avons remis sur la route la voiture italienne qui avait déraillé et se trouvait désormais au bord du ravin.

Le ministre rappelle la résolution du Affaire Trasnova et les licenciements annulés : «C’est la première fois que Stellantis fait preuve d’une responsabilité sociale envers les industries liées». Manca accepte d’abord les provocations de Marco Rizzo, le coordinateur de Démocratie Souveraine et Populaire qui demande au ministre de nationaliser le groupe automobile né en 2021, puis relance : «Nous espérons qu’une bonne nouvelle pourra être annoncée le 17 – souligne le chef du personnel – nous y travaillons. En un an et demi de travail avec Mimit, nous avons ajusté l’objectif”, explique Manca. Et puis il ajoute : «J’évite de spoiler certaines nouveautés qui seront là, Je pars de ce que le ministre a récemment rapporté. Nous avons confié des missions de production à toutes les usines. Que pourrions-nous ajouter ? Nous le dirons le 17. Et nous espérons ne pas avoir à le supprimer, car nous devrons toujours surveiller l’évolution du marché.

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Urso insiste sur la bataille au niveau européen sur les amendes liées aux nouvelles limites intermédiaires de CO2. Des sanctions qui entreront en vigueur en 2025 et qui influenceront la production, abaissant celle des voitures à moteur thermique pour privilégier les électriques. «Nous devons intervenir immédiatement. On a compris avant les autres que le Caporetto de l’auto Europe se profilaità. Parce que nous n’avons pas une vision idéologique, mais pragmatique et responsable sur la manière d’affronter la transition écologique”, déclare le ministre s’adressant à Bruxelles. Un point sur lequel Stellantis, dont le principal actionnaire est Exor qu’elle contrôle également, Républiqueest d’accord vu le retour du groupe à l’intérieur l’Acéale club des constructeurs automobiles européens, qui demande depuis des mois une révision du système lié aux sanctions en cas de dépassement des niveaux de CO2. Également à Atreju pour discuter de l’avenir de la voiture le leader de Confindustria, Emanuele Orsini: «Je pense que le départ de Tavares peut donner à Stellantis et à Elkann l’opportunité de démontrer qu’ils aiment le pays. Parce que nous devons maintenir l’emploi et nous avons aimé le signal donné sur Trasnova.”



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