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L’étudiant modèle de la Ligue allemande de hockey sur glace

by Nouvelles

2024-12-18 17:23:00

In der Deutschen Eishockey Liga (DEL) werden dieser Tage die Halbjahreszeugnisse verteilt. Nun braucht sich niemand vorstellen, dass das Personal im Ligabüro in Neuss wirklich 14 Umschläge fertigmacht und zur Post bringt. Aber nach 26 von 52 Hauptrunden-Spieltagen ist traditionell Zeit für ein Zwischenfazit. Und da kommt man nicht am ERC Ingolstadt vorbei.

Dass die Oberbayern ihre Hausaufgaben im Sommer vorbildlich erledigt haben, konnte zwar jeder sehen, aber nach Rang neun in der Vorsaison ist es schon bemerkenswert, wie sehr der ERC die DEL dominiert: die meisten glatten Siege, die wenigsten glatten Niederlagen, die meisten Tore, die zweitwenigsten Gegentore.

Zuletzt gab es elf Siege aus zwölf Spielen, darunter zwei souveräne 4:0-Erfolge bei den Topteams aus Berlin und München. Vor dem Spiel an diesem Mittwoch (19.30 Uhr bei Magentasport) in Wolfsburg stehen die Ingolstädter ganz oben in der Tabelle.

Punktesammler als Verteidiger

Umso schöner für den ERC, dass er seinen Musterschüler über das Saisonende hinaus an sich gebunden hat. Vor dem ersten Bully vergangene Woche gegen Bremerhaven verkündete der Klub auf dem Videowürfel, dass Alex Breton seinen Vertrag bis Saisonende 2027 verlängert hat. Damit sei eine „Schlüsselposition für die kommenden Jahre hochkarätig besetzt“, sagte Sportdirektor Tim Regan. Was die Fans ähnlich laut jubeln ließ wie Bretons Tore.

Zwar ist der Frankokanadier Verteidiger, aber das kann man schon mal vergessen, wenn er bei Kontern nach vorne fliegt, wenn er Gegenspieler aussteigen lässt, wenn er Mitspieler in Szene setzt oder selbst abschließt. Nach 26 Spielen schaut Breton auf zwölf Tore und dreizehn Vorlagen. Womit der 27-Jährige zu den besten acht Punktesammlern der gesamten Liga zählt – als Verteidiger.

Hinzu kommen 58,6 Prozent gewonnene Zweikämpfe und 86,7 Prozent angekommene Pässe. Sportdirektor Regan nennt ihn den „Prototyp eines modernen Offensiv-Verteidigers“. Springt Breton über die Bande, kennt das Spiel meist nur eine Richtung: nach vorne. Mit ihm auf dem Eis haben die Ingolstädter 48 Tore geschossen, aber nur 24 kassiert.

L’EHC Red Bull Munich aurait été très intéressé par le fait que Breton vive et travaille à l’avenir 80 kilomètres plus au sud. Mais lui-même n’avait guère envie de changement. « J’ai regardé les autres options mais je n’avais pas vraiment envie de partir. “J’espérais même que les autres offres n’étaient pas si bonnes”, a déclaré Breton au “Donaukurier”.

Il a assez bougé récemment ; l’ERC est son neuvième club depuis 2018. Breton a d’abord déménagé plusieurs fois en Amérique du Nord, puis en Slovaquie, de nouveau chez lui, de nouveau en Slovaquie, puis cet été à Ingolstadt. Et c’est là qu’il voulait s’installer. D’autant plus qu’il a une petite fille depuis neuf mois.

Particulièrement recherché dans ces ligues

Cela convenait à Regan. Ce n’est pas tous les étés qu’un planificateur d’équipe parvient à réaliser un tel coup de chance. Regan a récemment réussi à en marquer plusieurs. Surtout ceux des ligues considérées comme les plus faibles. Non seulement il a trouvé Breton en Slovaquie, Myles Powell venait de la deuxième division suédoise, Austen Keating a joué pour une université canadienne. Breton (25 points), Powell (24) et Keating (23) sont désormais en tête du classement interne de l’ERC.

Regan a spécifiquement étudié ces ligues : les joueurs de Suisse ou de la AHL nord-américaine « sont devenus chers, il faut donc se demander si vous avez une chance d’avoir ces joueurs avec votre portefeuille. Sinon, vous devez être innovant », a déclaré Regan à Ice Hockey News.

Bien sûr, il a dû supporter des questions comme celle-ci : « Qu’est-ce que c’est – il vient de sortir de l’université ou il vient de Slovaquie. Mais cela ne l’a pas dérangé : « Nous pensions que nous étions suffisamment approfondis sur le sujet pour minimiser les risques. Ça a marché. »

Surtout avec Breton. Son rythme correspond au « style agressif » (Regan) de l’équipe d’Ingolstadt, considérée comme la meilleure équipe de commutation de la ligue. Ils peuvent également dominer leurs adversaires grâce à la structure structurée. Pour l’instant, ils font cela comme aucune autre équipe de la ligue. Mais il reste encore beaucoup de hockey sur glace à jouer. Les rapports semestriels viennent d’être distribués.



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