Après 24 jours de vacance judiciaire, le pouvoir judiciaire a réactivé ses activités, ce qui implique la reprise des procédures judiciaires en cours à Santa Marta et dans le département de Magdalena. Parmi les cas les plus notables qui reprennent leur cours figurent plusieurs processus d’annulation d’élections, qui pourraient générer des changements significatifs dans la politique régionale.
L’un des cas les plus pertinents est celui du maire de Santa Marta, Carlos Pinedo Cuello, qui fait face à un procès devant le tribunal administratif de Magdalena. À cela s’ajoute le cas du gouverneur de Magdalena, Rafael Martínez, pour double militantisme présumé, qui est entre les mains du Conseil d’État.
Un autre processus notable est celui du député Rafael Noya, du mouvement Fuerza Ciudadana, qui, en mai 2024, a vu son élection déclarée nulle et non avenue en première instance par le tribunal administratif de Magdalena. De même, la députée Candy Sánchez, du Parti du changement radical, fait face à une procédure d’annulation électorale devant le tribunal administratif de Magdalena, à la suite d’un procès intenté par l’ancienne candidate Mónica Amaris, qui affirmait que Sánchez n’avait pas respecté les délais légaux pour démissionner de son poste. après avoir contracté avec l’Etat.
En plus de ces cas, d’autres processus d’annulation des élections sont en cours et pourraient modifier la politique du département. Il est prévu que dans les prochains mois, les décisions finales sur ces cas seront connues, ce qui sera déterminant pour l’avenir politique de Magdalena.
Avec cela, la reprise des activités judiciaires dans la région s’annonce cruciale pour déterminer l’orientation politique, puisque les décisions sur l’annulation des élections peuvent générer des changements significatifs dans les personnalités politiques du département.