Djakarta –
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a été soumis à un premier interrogatoire après avoir été arrêté pour rébellion liée à la mise en œuvre unilatérale de l’état d’urgence militaire. Yoon Suk Yeol est resté silencieux lorsqu’il a été interrogé par le Bureau d’enquête sur la corruption des hauts fonctionnaires sud-coréens (CIO).
“Il a refusé de répondre aux questions mercredi”, indique le communiqué du CIO. Agence de presse Yonhap, Jeudi (16/1/2025).
Yoon Suk Yeol a été arrêté mercredi (15/1) à la résidence présidentielle du centre-ville de Séoul. Il a ensuite été emmené au bureau du CIO dans la région de Gwaecheon, au sud de Séoul.
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L’examen de Yoon Suk Yeol a eu lieu à 11h00, heure locale. Cependant, lors de l’interrogatoire, Yoon a refusé de répondre aux questions posées par les policiers.
Le CIO a ensuite programmé aujourd’hui un deuxième examen avec le président Yoon Suk Yeol. L’ordre du jour débutera à 14h00, heure locale.
“Les enquêteurs commenceront à 14h00 KST la deuxième journée d’interrogatoire du président destitué Yoon Suk Yeol sur l’imposition de la loi martiale”, a indiqué le CIO.
L’avocat de Yoon Suk Yeol, Yun Gap-geun, a déclaré que son client ne subirait pas d’examen plus approfondi aujourd’hui. Il a mentionné que l’état de santé de Yoon Suk Yeol n’était pas bon.
“Le président Yoon n’a pas expliqué sa position correctement et complètement hier, donc il n’y a pas lieu de l’interroger davantage”, a-t-il déclaré.
(jeunes/eva)
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