Éric Achkar partage depuis trois ans ses connaissances en astronomie à travers une chronique hebdomadaire sur Radio Lac. Une autre façon de donner de la voix pour promouvoir le ciel étoilé. Pour une bonne cause.
Les vagues, c’est son affaire ! Professionnellement, Éric Achkar y travaille au quotidien, supervisant les radars aériens en Suisse. C’était aussi sa spécialisation en tant qu’ingénieur, dans le domaine de la gestion des risques. On ne s’attendait peut-être pas à ce que ce soit aussi son hobby, et pourtant…
L’astronomie, de tout temps, a été l’art de faire parler la lumière, avant même que l’on découvre qu’il s’agit d’une onde. Huygens l’avait déjà théorisé en 1690, contredit par Newton qui affirmait que la lumière était composée de particules. C’est Young qui proposa en 1801 une expérience démontrant la théorie ondulatoire de la lumière, avant que Planck, Einstein et De Broglie ne mettent tout le monde d’accord un siècle plus tard avec la théorie de la « dualité onde-particule ». “, le fondement de la physique quantique.
Sur les traces de Camille
Le jeune Eric était loin de ces conceptions lorsque le « virus » de l’astronomie l’a frappé. Sa campagne haut-marnaise, près de Saint-Dizier, lui offrait des ciels clairs et sombres, sur lesquels se dessinaient planètes et étoiles, délicates nébuleuses et galaxies, qu’un simple télescope suffisait à détailler. Le même type d’émerveillement qui s’était emparé, un siècle auparavant, d’une autre région du Haut-Marne, près de Montigny-le-Roi. Camille Flammarion développera son talent dans l’édition. Compte tenu des temps, nous avons très peu
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Article complet à retrouver dans notre édition du 17 janvier 2025 ou sur notre boutique en ligne !
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