Odermatt remporte le super-g supérieur

Marco Odermatt hatte auf dem roten Stuhl des Führenden alle Hände voll zu tun. Buchstäblich. Mit der einen Hand hielt er die Trinkflasche seines Sponsors hoch, damit sie zu sehen war, wenn die Fernsehkameras wieder einmal auf ihn gerichtet waren. Und das waren sie am Freitag sehr oft. Immer, wenn ein Skirennläufer sich ganz gut schlug und am Ende aber doch mit Rückstand im Ziel abschwang. Mit der anderen Hand musste der Schweizer die Konkurrenz abklatschen, musste die Hände der Geschlagenen in diesem Super-G der alpinen Ski-WM in Saalbach-Hinterglemm schütteln. Denn geschlagen hatte er sie alle.

„Er fährt“, stellte Adrian Smiseth Sejersted anerkennend fest, „in einer anderen Klasse.“ Der Norweger fuhr in diesem ersten WM-Einzelwettbewerb der Männer hinter Raphael Haaser aus Österreich, dessen Schwester Ricarda sich einen Tag zuvor beim Sturz im Super-G das Kreuzband gerissen hatte, auf den dritten Platz. Ein Blick auf die Zeitabstände bestätigen Sejersteds Aussage. Odermatt war eine Sekunde schneller als Haaser und 1,15 Sekunden als der Drittplatzierte. Nur einmal in der WM-Geschichte hatte der Super-G-Sieger mit einem noch größeren Vorsprung gewonnen. Der Österreicher Stephan Eberharter war 1991 ebenfalls in Saalbach 1,54 Sekunden schneller als Kjetil Andre Aamodt aus Norwegen gefahren.

De ce point de vue, les partants allemands ont conduit au plus dans la troisième division. Le Simon Jocher handicapé par une ecchymose au talon était le meilleur que 18 avec 2,45 secondes de retard. Rome Baumann a atterri quatre places derrière. Le débutant de WM, Luis Vogt, est tombé dans la pente cible lors de son entrée. Le Garmisch-Partenkirchener a déplacé des ecchymoses et une tension de capsule dans le genou gauche. Son départ dans le départ dimanche est à risque. Odermatt a quant à lui déclaré à la télévision autrichienne que sa course était “très proche” de la perfection. «Il n’y a pas beaucoup de jours comme ça. J’ai déjà senti le deuxième, troisième but que le ski fait ce que je veux. »

Odermatt était le grand favori. Il mène la cote de la Coupe du monde dans cette discipline et a remporté deux des cinq courses saisonnières. Mais les Suisses devaient découvrir que cela ne signifie pas nécessairement quelque chose. Avant que le titre ne se bat à Courchevel / Meribel, il avait dominé le Super-G au moins aussi clairement que cet hiver et est ensuite sorti en quatrième. Il s’est brièvement secoué à l’époque et a remporté les deux prochaines courses de la Coupe du monde, le départ et le slalom géant.

Mercredi dernier, l’équipe suisse avait invité à la nomination des médias au “Suisse Ski-Stübli”, qui est curieusement situé dans le “Home of Snow” de l’Autrichien. Les deux concurrents qui ont combattu avec une aversion aimante sur la neige célèbrent côte à côte. Les Autrichiens très généreusement au premier étage, la Suisse très petite au rez-de-chaussée. L’accent était bien sûr mis sur cette date.

Avec son sourire moche, il a modéré la pression. “Bien sûr, je prendrais également trois ou quatre or. Mais je ne suis pas préoccupé par de tels records devant une Coupe du monde », a-t-il déclaré. Pour lui, chaque Coupe du monde a une histoire spéciale. “Après Cussevel, quand j’ai dû obtenir de l’or, et Saalbach est celui que je peux profiter devant Crans Montana à la maison.” «Je ne ressens plus de pression. Si une race ne fonctionne pas, le monde ne sera pas en dessous. J’ai déjà gagné tellement. “