Home » Sciences et technologies » Le mot de la semaine: décadence

Le mot de la semaine: décadence

by Nouvelles

LLe président argentin Javier Milei a promis, dans son discours de victoire, de mettre fin. Sans prononcer le mot, Elon Musk Comparez nos sociétés à l’Empire romain, “Fallen parce que les Romains ont cessé de faire des Romains”. L’attitude d’attente et de veille de l’Europe face aux appétits de Trump, Xi Jinping et Poutine nous fait craindre le pire. La décadence – étymologiquement, le début de la chute, de dégradation – est devenue notre obsession … sans savoir exactement à qui le terme s’applique exactement: à l’Europe? À l’ouest dans son ensemble? Ce qui nous tape n’est pas la seule perspective du déclin, mais l’impression de se diriger vers la ruine de notre civilisation. Le mot a également une connotation morale. Nous payions, en gros, notre commutation, une opulence qui nous a ennuyeuse. Aymêlé avec des taxes et des divertissements, nous nous réduisons sur nos préoccupations privées dans le vain espoir de s’échapper du crash de l’histoire.

Et pourtant, cette décroissance annoncée n’est-elle pas un Trompe-L’oeil? Pour l’économiste Pierre BentataL’Occident est victime du “Malédiction du vainqueur” (La malédiction du vainqueur, Observatoire). «Partout où nous regardons, la supériorité matérielle et l’hégémonie culturelle des démocraties libérales sont essentielles. Pas de décadence à l’horizon. »» Si nous croyons en cette chimère de confiscation, explique l’essai, c’est parce que nous avons fait de l’individu un absolu, nous condamnant à une insatisfaction […] En savoir plus

#mot #semaine #décadence

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.