2025-02-10 22:04:00
Emmanuel Macron a fait un équilibre très optimiste du premier jour du sommet mondial consacré à l’intelligence artificielle (IA), espérant que l’Europe sera en mesure de faire face au défi historique de cette révolution industrielle, pour faire face à la direction impériale des États-Unis. Chine.
Les œuvres pratiques de mille techniciens, hommes d’affaires, politiciens d’un peu moins d’une centaine de pays, réunis dans le Grand Palais Parisino, n’ont pas confirmé exactement les ambitions macroniennes, avec des annonces importantes et des “échecs” symptomatiques symptomatiques.
Macron a répété à nouveau que la France s’attend à des investissements 109 000 millions d’euros de capitaux privés et étatiques, nationaux et internationaux, en même temps que son gouvernement a échappé à un quatrième mouvement de censure à l’Assemblée nationale (AN). Ce chiffre, pour spécifier, est assez loin des 500 000 millions de dollars que Donald Trump a annoncé que les États-Unis investiraient dans les premiers nouveaux projets de la révolution actuelle. Les investissements à venir, en France et dans l’Union européenne (UE), arrivent également assez retardés par les publicités de Deepsekk, la société chinoise qui a surpris le monde, les derniers jours avec des innovations spectaculaires.
Dans le domaine positif, cependant, Microsoft et l’Alliance Internationale pour la protection du Patrimoine dans les zones à Conflit (ALIPH) ont annoncé la création d’un projet commun visant à protéger le patrimoine culturel culturel et écologique du monde, investissant entre un et deux millions d’euros . Initiative stimulante, peut-être discrètement loin de l’agressivité commerciale chinoise et nord-américaine.
Macron a insisté sur «l’ambition commune» qui doit inspirer toute l’Union européenne (UE), «reliant la position de l’Europe dans la carrière actuelle et la révolution technologique». L’ambition messianique, que tous les membres du syndicat ne partagent pas toujours. L’Espagne et l’Italie, entre autres alliés influentes, ne sont présentes qu’au sommet au niveau ministériel. Olaf Scholz, chancelier d’Allemagne, présent au sommet, a gardé un silence prudent. Et Ursula von der Leyen justifie sa présence pour discuter diplomatiquement avec le représentant de Donald Trump lors du sommet, son vice-président, James David Vance, pour discuter de la guerre des tarifs déclenchée par le président des États-Unis.
Une révolution solo
De l’avis de Macron, “La France et l’Europe doivent se battre pour confirmer son autonomie et son indépendance, nous ne pouvons pas laisser la révolution en cours être dominée, en solo, par les États-Unis et la Chine.” Cependant, Vance, sur l’Américain, et Zhang Guoquing, vice-président, ont entendu avec Silent Ironic Smile 1962.
Avant la distance ironique de Washington et de Pékin, le président français a insisté sur le “besoin” d’un “réveil” européen: “Ursula von der Leyen sera en charge de l’éveil stratégique de l’Europe. Elle fera une annonce importante. Nous devons profiter de cette formidable occasion pour simplifier nos réglementations, renforcer notre marché unique pour augmenter nos capacités de production et nos avantages comparatifs ».
De grandes ambitions personnelles qui ne partagent pas toujours le reste des alliés européens, lorsque les anecdotes du premier jour du sommet ont éclairé la réalité la plus menaçante avec des lumières très équivoques.
Erreurs de l’IA française
L’un des grands employeurs français présents et très actifs au sommet, Xavier Niel, directeur général d’Iliad et Free, a fait cette déclaration: “Elon Musk se comporte très souvent comme un salaud.” Petite déclaration diplomatique qui a fait rire, mais ne facilitera pas le “dialogue constructif”, lorsque le couple Musk-Trump est en charge d’une guerre commerciale dure et agressive qui affecte directement les exportateurs européens.
Essayant de confirmer positivement l’optimisme personnel de Macron, la société française Mistral Ai, souhaitait faire un test, présentant son robot “Le Chat” (le chat), faisant une question simple devant le grand public: “Quel est le nom du Premier ministre de France ? Sans hésitation, le robot, présenté comme un modèle de la “connaissance de la technologie française”, a répondu: “Gabriel Attal” …
En effet, Attal a été Premier ministre pendant sept mois et vingt jours-sept jours, le 2024 les grandes ambitions du président Macron.
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