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L’ancien ADN révèle les racines des langues indo-européennes – les sciences de l’information

by Nouvelles

2025-02-10 21:00:00

Analyse de l’ADN ancien et des origines des langues indo-européennes

L’analyse de l’ADN ancien révèle des perspectives nouvelles et fascinantes sur les origines des langues indo-européennes, l’une des familles linguistiques les plus courantes au monde. La question cruciale à résoudre est: quel est le lieu de naissance de cette vaste famille linguistique? Une étude récente menée par Ron Pinhasi et son équipe au Département d’anthropologie évolutive de l’Université de Vienne, en collaboration avec le laboratoire ADN dirigé par David Reich à l’Université de Harvard, offre des réponses importantes à cette question.

Détails de l’étude sur l’ADN ancien

Les chercheurs ont examiné l’ADN de 435 individus de divers sites archéologiques dispersés dans toute l’Eurasie, avec un intervalle de temps qui se déroule de 6400 à 2000 AC Les résultats de cette recherche, publiés dans la revue scientifique Nature, a mis en lumière l’existence d’une population non identifiée, Situé dans la région du Caucaso-Basso Volga, qui s’avère être un groupe ancestral fondamental pour toutes les populations de langue indo-européenne.

La famille linguistique indo-européenne

La famille linguistique indo-européenne comprend plus de 400 langues, y compris des succursales importantes telles que:

  • germanique
  • Romano
  • Notoriété
  • Indeeuropeo
  • celtique

Aujourd’hui, ces langues sont parlées par près de la moitié de la population mondiale. Les origines et la propagation du proto-indo-européen (tarte), la langue maternelle de ces familles, font l’objet d’une étude académique depuis le XIXe siècle. Malgré les efforts de recherche, des lacunes remarquables restent dans notre compréhension de la façon dont et du moment où la pièce s’est propagée.

Découvertes génétiques et impacts linguistiques

Les nouvelles découvertes génétiques fournissent des informations cruciales sur l’histoire linguistique et démographique des populations indo-européennes. Les travaux publiés dans Nature, qui implique également les chercheurs Tom Higham et Olivia Cheronet de l’Université de Vienne, ont analysé l’ADN ancien de 435 individus de sites archéologiques en Eurasie, daté entre 6400 et 2000 avant JC

Fig. 2: Photos d’une tombe Yamnaya à Tsatsa, steppe du nord de la caspienne (I6919), 2847-2499 Calbce.

Verre Natalia

Expansion de la culture Yamnaya

Des recherches antérieures avaient déjà souligné que la culture de Yamnaya, active entre 3 300 et 2 600 avant JC dans les steppes pontiques au nord de la mer Noire et de la mer Caspienne, s’était développée en Europe et en Asie centrale à partir de 3 100 avant JC, il a expliqué l’émergence d’un “Arrogance of the Steppes” dans les populations humaines dans toute l’Eurasie entre 3 100 et 1 500 avant JC

Branche anatolique et nouvelles découvertes

Un aspect intéressant qui a émergé de l’étude concerne la seule branche de la langue indo-européenne qui n’avait montré aucune ascendance des steppes: l’anatolique, qui comprend l’ichthine. Cette branche est probablement la plus ancienne à séparer, gardant les archaismes linguistiques d’une manière unique qui a perdu toutes les autres branches indo-européennes.

Population du Caucase-Basso Volga

La découverte de cette population, avec sa large influence, est d’une grande importance. L’étude a montré que la population de Yamnaya a tiré environ 80% de ses ascendances du groupe CLV, qui a également contribué à au moins un dixième de l’ascendance de l’âge central anatolien de l’âge du bronze, de puissants orateurs.

Conclusions et implications de la recherche

Le groupe CLV peut être considéré comme un lien fondamental pour toutes les populations de langue indo-européenne et est le meilleur candidat pour représenter la population qui parlait indo -sanaticaïque, l’ancêtre de l’Epitis et de toutes les langues indo-européennes ultérieures. Ron Pinhasi souligne que les résultats suggèrent que l’intégration de la langue proto-indéanatolienne, partagée par les peuples anatoliens et indo-européens, a atteint son apogée entre les communautés CLV entre 4 400 avant JC et 4000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 avant JC et 4 000 av.

La découverte de la population CLV comme un anneau manquant dans l’histoire indo-européenne représente un tournant dans la recherche, qui a duré plus de 200 ans, pour reconstruire les origines de l’Indo-European et les routes par lesquelles ces populations se sont propagées à l’Europe et dans certaines parties de l’Asie.

Sources et références de l’article:



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