La réponse difficile de Luis Caputo à Cristina Kirchner

Le ministre de l’Économie, Luis Caputoa répondu à une publication de l’ancien président Cristina Kirchner Et a fait référence à l’échange de retard, l’accord avec le FMI, les attentes de l’inflation et de la croissance économique d’ici 2025.

Dans un poste dédié au président Javier Milei, l’ancien vice-président a déclaré que Caputo “prenait votre Prix ​​pour l’Econochanta du mois.Quand il a essayé d’expliquer pourquoi l’Argentine est très chère pour les Argentins (qui partent en vacances à l’étranger et achètent de tout aux pays limitatifs parce que c’est moins cher), comme pour les étrangers (qui viennent dans notre pays et ne peuvent pas croire les prix qu’ils voient) ; Il a dit qu’en fait en Argentine, “le dollar n’est pas en retard … mais ce sont les prix qui sont avancés”. Anthologie! », A-t-il dit.

À cet égard, Caputo a commenté que je ne fais pas attention. “J’ai le sentiment que Cristina Vous avez le complexe de vouloir montrer ce que vous comprenez sur l’économie, Peut-être parce que ça a mal tourné ou parce que le mari (Néstor Kirchner) a été le premier à dire qu’elle n’en avait aucune idée », a tiré sur officiel.

Le gouvernement est sorti pour répondre à Cristina Kirchner: “La seule chose qu’ils ont accomplie a été d’appauvrir 57% de la population”

“En tant que vice-président et président deux fois Vous avez tout le droit de ce que vous voulez “le responsable a clarifié dans les déclarations à Radio Rivadavie.

Dollar tardif?

Lorsqu’on lui a demandé si le dollar était en retard, le ministre a répondu non. “En fait, il n’y a pas beaucoup de gens qui disent cela, nous voyageons dans le monde et il n’y a rien de plus que des reconnaissances et des compliments. Quand nous allons au niveau local, La plupart des économistes qui respectent pensent la même chose, qui ne sont pas en retard “a-t-il dit.

«Un fait qui ne devrait pas passer inaperçu par les gens, c’est que Ce sont les mêmes économistes qu’une année qu’ils n’en ont pas atteint un. Le kirchnerism est un autre problème, c’est 100% politique, ce sont tous des types qui doivent mentir parce qu’ils ont besoin que le pays se trompe pour avoir une chance de revenir », a ajouté Caputo.

Selon le FMI

Concernant le nouvel accord avec le Fonds monétaire international (FMI), Caputo a déclaré que «nous avons déjà la feuille de route sur l’endroit où nous allons aller et, comme le président l’a dit Il n’a pas le chignon et rien d’autre.

«Ce sera pour les quatre premiers mois et je pense toujours que ce sera ainsi, Nous avons pratiquement tout, la belle lettre est manquante. En ce qui concerne le montant, le président Milei a déclaré qu’il pourrait s’agir de 10 000 millions de dollars, Caputo a évité de créer des détails mais a précisé qu’il implique “une nouvelle dette en argent mais pas une nouvelle”. “Cet argent entre dans le trésor et avec lui le rachat de la banque centrale. Ceci est capitalisé et la dette brute est la même. Il est remplacé dans la dette du secteur public par le FMI. La récapitalisation de la banque centrale est l’une des trois conditions Pour être prêt à laisser des restrictions d’échange », a-t-il déclaré.

Quant à l’inflation, il a déclaré qu’il devrait être d’environ 2,3% en janvier, la baisse de l’inflation du cycle. «Cela signifie que le processus de désinflation continue parce que nous faisons ce que vous avez à faire pour que cela se produise. Nous continuons avec l’équilibre budgétaire et l’orthodoxie monétaire. »

En ce qui concerne l’économie en général, «c’est une année que je vois positif pour tous les Argentins, car l’économie augmentera, le consensus est de 5% et nous pensons qu’il augmentera davantage. Cela sera traduit par de plus grandes opportunités d’emploi, probablement de meilleurs salaires, une plus grande stabilité. »

Quant à la comparaison avec le gouvernement Mauricio Macri, Caputo a déclaré que “Cette politique est opposée à ce qui a été fait à ce moment-là. À cette époque, un déficit important a été hérité et il a été décidé de le fermer avec la croissance. Nous n’avons pas couru ce risque, nous fermons le déficit en réduisant les dépenses de 30% et les dépenses de la banque centrale.

Lm / ils