2025-02-14 22:53:00
Eine ungewöhnliche Entdeckung aus dem frühen Universum haben Astronomen mit dem europäischen Radioteleskop-Verbund LOFAR gemacht. Ein aktives Schwarzes Loch emittiert zwei gigantische Radiojets in entgegengesetzte Richtung mindestens 200.000 Lichtjahre weit ins All hinaus. Die gesamte Strecke entspricht etwa dem doppelten Durchmesser der Milchstraße. Das ist überraschend, kannten die Astronomen doch bisher nur kürzere Jets aus der Frühphase des Kosmos. Der bisher längste erstreckte sich über knapp 120.000 Lichtjahre.
Kosmische Jets entstehen, wenn ein aktives Schwarzes Loch im Zentrum einer Galaxie Materie aus seiner Umgebung aufsaugt und große Mengen an Energie in Form von Strahlung und schnellen geladenen Teilchen ausstößt. Die längsten bekannten Jets (nach dem griechischen Giganten Porphyrion getauft) hatten Astronomen von der Universität Leiden mit den LOFAR-Teleskopen im vergangenen Jahr entdeckt. Sie schossen sage und schreibe 23 Millionen Lichtjahre – 140 Milchstraßendurchmesser – weit ins All. Ihr Ursprungsort, ein aktiver Galaxienkern, auch Quasar genannt, ist rund 7,5 Milliarden Lichtjahre von der Erde entfernt und stammt aus einer Zeit, als das Universum weniger als halb so alt war wie heute.
Jusqu’à présent, les jets longs de couples peuvent être produits par des trous noirs actifs dans des galaxies beaucoup plus anciennes ont été considérés comme peu probables et ont surpris les astronomes autour d’Anniek Gloudemans de l’Observatoire des Gémeaux à Hawaï. Jusqu’à présent, on croyait que l’univers était encore trop densément au début de la phase afin que de longues questions puissent se propager jusqu’à l’univers d’aujourd’hui.
Une autre surprise: selon les astronomes autour des Gloudemans, le quasar J1601 + 3102 est plutôt chétif. Le trou noir derrière n’a qu’une masse de 450 millions de soleils. Certains spécimens précoces pèsent plusieurs fois à 1,5 milliard de masses de soleil. Votre âge ne représente que quelques centaines de millions d’années. Le taux avec la matière J1601 + 3102 n’est pas non plus exceptionnellement élevé. “Cela semble souligner qu’un trou noir exceptionnellement massif ou un taux d’accrétion élevé n’est pas nécessairement nécessaire pour créer des jets aussi forts dans l’univers précoce”, explique Gloudemans. La façon dont le trou noir pourrait se former et pourquoi il émet des radio-jets aussi forts doit maintenant montrer d’autres analyses des données d’observation.
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