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Le Hamas a libéré trois otages et a reçu 369 prisonniers

by Nouvelles

2025-02-16 06:25:00

Ce samedi, Israël et le Hamas ont terminé leur sixième échange d’otages et de prisonniers, un processus qui, bien que tendu et fragile, apporte une faible lumière d’espoir au milieu de la dévastation causée par la guerre à Gaza. La libération réciproque survient à seulement deux semaines à partir de la fin de la phase initiale de cessation à l’incendie, qui depuis son entrée en vigueur le 19 janvier a réussi à maintenir le conflit armé contrôlé, bien que les menaces de reprise des combats se poursuivent latente.

Les trois otages libérés par le mouvement de la résistance islamique, trois hommes israéliens kidnappés lors de l’invasion violente des miliciens du groupe djihadiste palestinien en territoire israélien, le 7 octobre 2023, ont été reçus avec soulagement en Israël, bien que l’émotion de leur libération contraste avec Le chagrin pour ceux qui restent en captivité.

La corne argentine-israélienne iaiir, 46; Sagui Dekel Chen, 36 ans, et Alexander Troufanov, 29 ans, ont finalement été livrés à la Croix-Rouge dans la ville de Khan Younis, au sud de Gaza, après avoir été présentés devant la foule par des combattants armés et masqués. La scène, choquante et brutale, reflète fortement le drame humain d’une guerre sans fin.

Le poids de l’incertitude

Bien que les trois hommes semblaient dans une meilleure condition physique que les otages libérés il y a une semaine, le malheur personnel de chacun d’eux reste écrasant. Par exemple, Troufanov, avant de rencontrer sa famille, a été informé de la mort de son père, victime d’une attaque du Hamas en octobre 2023. Chen, en revanche, s’est préparé à rencontrer sa plus jeune fille, née des mois après son enlèvement. Horn, dont les parents ont célébré son retour, fait toujours face à l’angoisse de l’absence de son frère Eitan, qui est toujours en otage.

Pendant ce temps, à Gaza, la libération de 369 prisonniers palestiniens, dont des militants reconnus coupables d’attaques mortelles contre les Israéliens, génère des sentiments. Parmi les personnes libérées figure Ahmed Barghouti, 48 ans, reconnu coupable de sa participation à des attaques suicidaires dans les années 2000, et Hassan Aweis, qui a été condamné à la réclusion à perpétuité pour homicide et terrorisme. Pour beaucoup de ses proches, le retour du retour de ces prisonniers ressemble à un triomphe contre les difficultés d’une guerre sans fin, bien que pour d’autres, le retour des prisonniers condamnés génère un sentiment d’injustice et rouvre des blessures profondes.

Tension derrière la trêve

L’échange d’otages contre des prisonniers hier n’est qu’une partie de l’accord de forte incendie qui, à peine, a réussi à surmonter plusieurs crises depuis son début le 19 janvier. Au début de la semaine dernière, une différence entre les protagonistes directs de la guerre en pause sur l’approvisionnement de l’aide humanitaire a menacé de faire dérailler l’accord faible. Le Hamas avait souligné que l’entrée de plus d’aide à Gaza, y compris les fournitures médicales et les tentes, était une condition fondamentale pour poursuivre l’échange, tandis qu’Israël a exigé une garantie que l’organisation djihadiste ne profiterait pas de la trêve pour se débrouiller. L’intervention des médiateurs, en particulier d’Egypte et du Qatar, a permis de surmonter la transe, mais la paix est clairement un objectif lointain.

À cela s’ajoutent les déclarations du président des États-Unis, Donald Trump, qui, sur ses réseaux sociaux, a déclaré que les otages libérés “semblent être en bonne forme”, suggérant que la pression internationale pourrait influencer les décisions politiques d’Israël. Cependant, le gouvernement de Benjamin Netanyahu a précisé qu’il n’avait pas imposé la durée de 12 samedi, comme mentionné par le président américain, et que l’accord de forte incendie n’est pas lié à une date limite établie unilatéralement.

Au coin de la rue

Avec la fin de la première phase de haut du feu au coin de la rue, les yeux sont placés dans ce qui se passera après mars, lorsque, selon l’accord, Israël et le Hamas doivent aborder la deuxième phase du processus, beaucoup plus complexe. Cette instance implique la libération de tous les otages restants et la cessation définitive possible des hostilités, un horizon incertain qui génère des préoccupations des deux côtés.

Ainsi, alors qu’Israël semble disposé à libérer plus de 1 000 prisonniers palestiniens en échange de la libération des otages israéliens détenus par le Hamas, l’avenir de ce processus reste incertain. La violence à Gaza et en Cisjordanie, la situation humanitaire critique dans l’enclave palestinienne et les tensions politiques internationales à l’âge des conditions assumées par les parties lorsqu’ils ont signé l’accord.



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