Bipologie des barres de patch von Roger Penrose

Im April 2019 traf Sir Roger Penrose mitten in der Nacht am Flughafen von Toronto ein. Dort holte der kanadische Wissenschaftsjournalist Patchen Barss den damals 87 Jahre alten mathematischen Physiker ab und fuhr ihn in die neunzig Kilometer entfernte Stadt Waterloo, wo Penrose eingeladen war, einen Vortrag zu halten. Er und Barrs hatten sich bereits sechs Monate zuvor in Penroses Wohnung in Oxford getroffen – zu dem ersten von Dutzenden von Interviews für das Buch, das Barss über ihn schreiben wollte.

Das Buch liegt nun vor, und es ist vielleicht eine der berührendsten Biographien, die je über einen Wissenschaftler geschrieben wurden, zumal zu dessen Lebzeiten. Tatsächlich ist der 1931 geborene Penrose noch immer aktiv – im September 2024 etwa trat er auf dem World Science Festival in New York auf. Und Barss nähert sich hier einem Forscherleben, das auf eigentümliche Weise mit dem Privatleben verflochten ist. Seine Einblicke in diesen Zusammenhang verdankt der Autor allerdings nicht nur seinen offenbar mit großem Einfühlungsvermögen geführten Interviews, sondern auch einem jahrzehntelang ungeöffneten Paket mit Briefen, das Penrose in jener Nacht mit nach Kanada brachte, um es gemeinsam mit seinem Biographen zu öffnen.

Die Briefe hatte Penrose in den Siebzigerjahren selbst geschrieben. In den Augen vieler Fachkollegen war er damals schon der bedeutendste Gravitationstheoretiker nach Albert Einstein – er und nicht etwa der in der Öffentlichkeit ungleich bekanntere Stephen Hawking. Mit diesem zusammen hatte Roger Penrose Ende der Sechzigerjahre eines seiner wichtigsten Ergebnisse veröffentlicht.

Die beiden Theoretiker hatten untersucht, was passiert, wenn man die Expansion des Universums bis zum Anfang zurückverfolgt und dabei eine strenge Gültigkeit der Gleichungen Einsteins voraussetzt. Wie sich zeigte, führt das notwendig auf eine gravitationstheoretische Singularität, einen Zustand unendlich hoher Raumzeitkrümmung. Diese sogenannte Urknall-Singularität oder vielmehr deren Unvermeidlichkeit in einem Einsteinschen Kosmos war allerdings die Weiterentwicklung einer Einsicht über die Singularität im Zentrum eines schwarzen Lochs gewesen, die Penrose bereits 1964 publiziert hatte und für die er 2020 mit dem Physik-Nobelpreis geehrt wurde.

Da arbeitete Patchen Barss bereits zwei Jahre an seinem Buch. Es ging dem Kanadier also nicht um Penroses Nobelpreisprominenz, sondern um einen Menschen, dem die Wissenschaft längst nicht nur die Singularitätstheoreme verdankt: Mit Penrose-Diagrammen verschaffen sich Physiker heute routinemäßig Überblick über die kausale Struktur von Raumzeiten, die Penrose-Notation erlaubt ihnen einen visuellen Umgang mit komplexen mathematischen Beziehungen, und mit Penrose-Kacheln lassen sich potentiell unendliche große Flächen lückenlos bedecken, ohne ein periodisch wiederkehrendes Fugenmuster zu erzeugen.

Cependant, Roger Penrose a mis encore plus d’efforts et de vie dans le travail qui trouvaient peu d’écho- comme sa soi-disant théorie du twistor, une approche pour normaliser la physique gravitationnelle et quantique – ou de la part du rejet hostile. Ce dernier s’applique en particulier à son argument pourquoi les ordinateurs ne peuvent pas avoir certaines idées, mais qui sont parfois possibles pour l’esprit humain. Penrose est également resté un peu seul avec sa dernière grande idée: celle d’un univers cyclique qui, selon l’univers dans un avenir lointain, ne contient que le rayonnement électromagnétique et cette condition se déroule ensuite dans un nouveau Big Bang.

Les lecteurs de Barss ne devraient pas s’attendre à être expliqués plus en détail. Si vous n’êtes pas déjà un peu familier avec le travail de Penrose, vous n’en trouverez guère plus dans ce livre que l’incitation à recourir aux livres non compréhensibles non compréhensibles que Penrose lui-même a publiés. Soit dit en passant, ceux-ci sont de plus grande qualité que de nombreuses autres publications populaires à Quanta et Cosmos – celles de Hawking fermées. Encore moins, mais le livre de Barss est une monographie spécialisée scientifique. Au contraire, l’accent est mis sur le drame d’un génie qui s’est produit: la plus haute distinction et le rejet robuste, la satisfaction intellectuelle la plus profonde, mais aussi la souffrance – et pas seulement la vôtre.

Ce dernier peut être plus au premier plan que les BARSS ne le peuvent initialement. Il était clair qu’il ne s’agissait pas seulement de trous noirs physiques: Roger Penrose vient d’une famille des plus élevés doués, dans lesquels les enfants s’adressent à leurs parents avec leurs prénoms au lieu de maman et papa. Son père émotionnellement lointain était un généticien important, sa mère médecin, mais a été empêchée de son mari dans sa propre carrière. Roger a étudié les mathématiques contre la volonté de ses parents – et à l’âge de 26 ans, il a épousé l’American Joan Wedge, qui a travaillé comme illustrateur pour un collègue de Penrose à Cambridge.

Selon la représentation de Barss, un drame rampant a commencé. Après une fille née en fille, le couple a obtenu trois fils, mais alors que le génie scientifique de Roger Penrose devenait de plus en plus impressionnant, sa vie de famille est devenue de plus en plus malheureuse. Il y avait clairement un lien entre les deux – le biographe se sent poussé vers ce jugement avec toute la pesée de Penrose, et il le transmet donc au lecteur. “Roger était aveugle au traumatisme de ses fils et à la douleur de Joan”, explique Barss en un seul endroit. “Même après des décennies de l’opportunité de réfléchir, la seule chose qu’il a explicitement regrettée d’avoir épousé Joan.”

Le récit du chercheur engagé, qui préfère faire face au cosmos que avec le puits mental de sa femme et de ses enfants, ressemble à un cliché, ce qui, bien sûr, ne signifie pas qu’il ne correspond toujours pas à la vérité, d’autant plus que puisque depuis que Ce motif est également dans la biographie desinaires d’Albert Einstein. Néanmoins, un peu plus de prudence aurait pu être dans la place avec cette interprétation psychologique, après tout, Barss reconstruit ces aspects du premier mariage de son protagoniste divorcé en 1981 principalement des décennies suivant les événements menés avec Penrose lui-même et avec son deuxième fils Toby.

La situation dans l’affaire Judith Daniels, la femme qui a écrit à Penrose les lettres mentionnées au début. Elle avait 13 ans de moins que Penrose, le connaissait déjà quand elle était enfant – elle était une amie d’enfance de sa sœur cadette – et est devenue mathématicienne. Il y avait une amitié particulière, et surtout dans le cadre de l’œuvre sur l’œuvre en deux volumes “Spinors and Space-Time”, que Penrose a écrit avec son collègue Wolfgang Rindler et dans lequel il a formulé sa théorie du torsion, elle s’est produite entre Penrose et Daniels pour un échange proche – et un autre drame.

Parce que Penrose est tombé amoureux des deux oreilles lorsqu’il travaille sur “Spinors et Space-Time”. “Roger et Judith étaient les seuls à pouvoir voir la lettre d’amour cachée dans ce traité sur la physique théorique avancée”, explique Barss. Mais Judith l’a rejeté d’une part. D’un autre côté, elle était beaucoup située sur le visage humain et professionnel du chercheur amical et du monde.

Heureusement – et peut-être aussi grâce à la documentation minutitique de la relation compliquée entre les deux dans le bundle de lettres reçues – le biographe ne succombe pas à la tentation de couvrir les modèles actuels et le vocabulaire aujourd’hui. Selon la représentation de Barss, il y avait en fait une véritable amitié mutuelle ici, le problème n’était que: l’érotique et la science ne pouvait pas être séparée pour Penrose. “Il était triste qu’elle ne voulait pas avoir une relation physique, mais ce qui l’a vraiment mis en panique, c’est la pensée qu’il pouvait perdre son inspiration scientifique.”

Cependant, ce n’était pas la dernière fois que Roger Penrose est une muse. Barss raconte deux autres cas, qui n’incluent pas le doctorant de Penrose Vanessa Thomas, qui est devenu sa deuxième épouse en 1988 et en 1999 son fils Max. Cette relation semble avoir été d’un type différent. Et ce n’est qu’avec l’une des femmes qui étaient censées assurer l’inspiration que Penrose avait en fait une affaire au début des années 1980. Un autre, la physicienne mathématique Ivette Fuentes, maintenant professeur respecté, a vigoureusement interdit ce rôle. Penrose, maintenant âgé de 86 ans, avait rapidement une vue, et les deux sont toujours amis.

En fait, Fuentes a sauvé l’ancien chercheur d’une grave erreur: en 2017, c’était l’occasion d’obtenir un financement d’un millionnaire intéressé par les clients de recherche, entre autres, pour financer un institut qui devrait se consacrer à la recherche d’idées de Penrose et porter son nom . Quand Ivette a entendu Fuentes, le futur bienfaiteur était bondé en raison d’infractions sexuelles, elle a immédiatement arrêté la question. Elle ne savait même pas que c’était Jeffrey Epstein.

Il ne fait aucun doute que la vie de Roger Penrose a eu ses côtés problématiques, et il est étonnant de voir comment Patten Barss peut la décrire sans jamais soulever des doutes quant à sa grande appréciation pour son protagoniste et ses réalisations. Selon sa représentation, Roger Penrose en tant que mari et père et peut-être aussi en tant que scientifique a fait beaucoup de mal – et l’astuce que vous n’avez qu’à rechercher n’est pas en place. Cela rendrait justice à la complexité des conflits entre le talent et la vie aussi peu que les personnes impliquées. Mais la critique visant à démontage serait similaire à la sous-complexe et se livrerait à une sorte de culte de génie inverse qui ne voit plus les humains dans les doués.

Bars patchen: «L’homme impossible». Roger Penrose et le coût du génie. Atlantic Books, Londres 2024. 352 S., Abb., Geb., 30, – €.