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Pumuky, critique celui éphémère (2025)

by Nouvelles

2025-02-28 10:49:00

Dix longues années se sont écoulées depuis la dernière longue durée de Pumuky a vu la lumière, “Justice poétique” (Javelina, 15), sur une attente avec la publication intermédiaire de l’EP “Château intérieur” (Keroxen, 20). En tout cas, le projet (toujours nécessaire) dirigé par Jaír Ramírez ne comprend pas les temps ou les délais. Il n’a pas non plus été poussé à travers les tenants et aboutissants d’une industrie musicale dans laquelle le projet n’a jamais fini de croire.

La formation de canarian – actuellement composée de Jaír et de son frère Noah avec Mariano Gracia et Albert Morales – a toujours tourné sur un besoin vital d’expression sincère et ardente qui, dans “Ne libérez pas l’éphémère”démontez à nouveau l’auditeur avec dix chansons d’une grande intensité émotionnelle et sonore. Un chemin conjoint de sa propre signification, qui s’ouvre sur “Le salpêtre de tes lèvres” et ferme son propre cercle avec le “NE plus choquant” ne libérez pas l’éphémère “qui donne un titre au lancement. Entre les deux, d’autres s’arrêtent aussi satisfaisants qu’ils sont “Je me souviens de tout”, “The Singularity”, “Terriblement Beautiful” o “Le désenchantement.”

Le mélange de Slowcore, Shoegaze et Indie-Rock du combo tire dans un son spécifique qui guide tout l’album, à côté du lyrique toujours vif et net proposé par le chanteur Jaír Ramírez, peut-être plus exposé que jamais dans son rôle après le microphone. Certaines textures qui sont suffisamment résistantes pour accueillir cette parole douloureuse de l’auteur. De même que, en quelque sorte, est adouci par cet instrumentation qui marque en même temps les chansons avec une marque type de la maison. Un air qui donne de la cohérence et de la solidité à l’œuvre elle-même, dans ce qui est imposé comme une autre de ses vertus palpables.

“Ne libérez pas l’éphémère” Distiller la rigueur et jouer avec les intensités susmentionnées, pointant vers Low, Matt Elliott, Codeine ou Slowdive parmi leurs référents et même levé le mur du son présumé. Sans fissures et avec conviction. Un album qui, finalement et pour la énième fois, se souvient à quel point il y a des formations extérieures de tout ce qui n’est pas une urgence créative honnête et frappante. Des formations crédibles et perméables aussi vitales que Pumuky.



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