“C’est une scène révélant la violence qui règne à Bruxelles La drogue de drogue avec des jeunes qui font des actes absolument insensés “, Me déchiffre Guillaume Lys, qui défend l’un des cinq hommes par rapport à ces faits. Son client, Taxi Driver, conteste toute participation à cette scène.
“Je m’interroge sur de tels actes. Je pratique depuis trente ans. Je n’ai jamais vu une vidéo d’une telle cruauté”, Ainsi m’a plaidé Olivier Martins, dont le client conteste également tout lien avec ce règlement des comptes.
“Le quotidien à Peterbos est un cycle perpétuel où nous vivons trois mois en paix, puis un mois en guerre”“En trente ans de pratique, je n’avais jamais vu de vidéo d’une telle cruauté”, m’a dit Olivier Martins. © Bernard Demoulin
Cette boutique de boucher a été engagée du soir du 12 au 13 avril 2023 dans un garage sordide de la rue de la Prévoyance, situé à un lancer de pierre du Palais du juge de Bruxelles. Parmi les cinq accusés, dont certains apparaissent dans les fichiers de tir le mois dernier à Anderlecht, seuls deux reconnaissent avoir participé – et limité pour l’un d’eux. Tous sont exposés à une peine très lourde: le représentant du procureur a demandé 15 ans de prison, sans faire de distinction entre les cinq défendeurs. Les dernières défenses plaideront le 12 mars.
“L’accusation sera implacable contre ceux qui ont confisqué l’espace urbain à Bruxelles pour vendre des drogues en toute liberté”
À quelques mètres de ses bourreaux
Mohamed, la victime, était présent mercredi sur le banc des parties civiles à quelques mètres de ses bourreaux. Après que ces doigts aient été coupés, il est allé voir un ami qui l’avait emmené à l’hôpital pour recevoir des soins. Il n’a pas pu donner une explication accidentelle convaincante, afin que les médecins aient appelé la police.
“C’est une scène révélant la violence qui règne à Bruxelles dans l’industrie pharmaceutique avec des jeunes qui font des actes absolument insensés”, me déchiffre Guillaume Lys © Cameroon Ennio
Dans ce type de fichier, il est généralement difficile de reconstruire la séquence exacte des événements ainsi que les raisons qui ont conduit les auteurs à maltraiter leur victime de cette manière parce que les langues sont petites. Il semble que Mohamed ait été conservé pendant trois heures, entre 02 heures et 05 heures dans ce garage. Il a également reçu des blessures par coup de couteau vers les bras et le dos.
Un événement a déclenché les tirs de cette semaine à Anderlecht: “Les craintes sont exprimées pour les prochains jours”
Représailles pour un vol
L’enquête a déterminé qu’il aurait volé une somme d’argent importante dans son ami avec qui il ne vit pas. Cette jeune femme avait un rôle d ‘”infirmière” pour une organisation criminelle active dans le trafic de drogue. Elle vivait dans un appartement du district de Peterbos à Anderlecht, connu comme un lieu élevé dans le trafic de drogue dans la région de Bruxelles.
Les trois doigts n’étaient que partiellement coupés. En utilisant le pied, un homme les a gagnés.
Mohamed a été retiré dans le district de Peterbos et emmené en voiture dans le garage de la rue de la Prévoyance. Les gens qui l’ont retiré étaient cagoulés, gantés et portaient des lunettes qui se cachaient les yeux. Deux des cinq accusés sont dans des confessions partielles.
C’est particulièrement le cas de Basso S. Cet homme, qui vit dans la banlieue parisienne où il n’avait que parfois peu d’emplois, était, selon lui, qui est venu à Bruxelles pour acheter de la drogue. Il avait confié, a-t-il dit, 15 000 euros à l’ami de Mohamed à qui l’argent aurait été volé. Mais il conteste toute participation aux faits de la torture, affirmant que nous avons simplement appelé les proches de la victime qui aurait pu communiquer où se trouvait l’argent volé. Il dit qu’il a quitté le garage vers 02h30 et est retourné directement à son hôtel. Ce que les caméras de surveillance semblent le contredire près de l’hôtel à 5h16. Il ne veut identifier aucun des protagonistes.
Quant à la victime, il n’en reconnaît qu’un: Ngabo R., l’homme qui aurait décidé de ses doigts et qui, après les avoir saisis dans sa main, lui aurait dit “Je les garde “.
GRANADE ALERT AT PETERBOS: Le modèle datant de la Première Guerre mondiale soutenue par le service de destruction des prolines explosives
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