Home » International » En Corée du Sud, le juge annule le mandat d’arrêt contre le président Yoon Suk Yeol

En Corée du Sud, le juge annule le mandat d’arrêt contre le président Yoon Suk Yeol

by Nouvelles

Les partisans du président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, se sont rassemblés devant le centre de détention de Séoul le 7 mars 2025. Jung Yeon-I / AFP

Un tribunal sud-coréen a annulé, le vendredi 7 mars, le mandat d’arrêt délivré contre le président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, rejeté en décembre après avoir tenté d’imposer la loi martiale, qui ouvre la voie à sa prochaine loi.

L’équipe juridique de M. Yoon avait lancé un appel contre son client le mois dernier le mois dernier, faisant valoir que les procureurs avaient eu un jour après la fin du mandat en vertu de laquelle il a été détenu après sa tentative ratée de suspendre le régime civil en décembre. “Pour garantir la clarté de la procédure et éliminer tout doute sur la légalité du processus d’enquête, il est approprié d’émettre une décision d’annuler la détention”a écrit le tribunal du district central de Séoul dans sa décision.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le président sud-coréen ciblé par un mandat d’arrêt contre sa déclaration de droit martial

Lire plus tard

Le président conservateur avait plongé la Corée du Sud dans le chaos politique le 3 décembre en décroissant la loi martiale et en envoyant l’armée au Parlement pour essayer de Miner. Il a dû inverser six heures plus tard, les députés ont réussi à se rencontrer en cas d’urgence et à voter une motion exigeant le retour au régime civil.

Yoon Suk Yeol avait justifié son coup d’État par le fait que le Parlement, dominé par l’opposition, a bloqué l’adoption du budget de l’État. Dans une adresse à la télévision surprise, il a dit qu’il voulait “Protéger la Corée du Sud libérale contre les menaces posées par les forces communistes nord-coréennes” ET “Éliminez les éléments hostiles à l’État”.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés de la Corée du Sud: Malgré l’extension de sa détention, le président Yoon Suk Yeol continue de contester la justice

Lire plus tard

Accusation de “insurrection”

L’Assemblée nationale sud-coréenne a voté pour le rejet de M. Yoon le 14 décembre. Le président n’est actuellement suspendu que de ses fonctions en attendant que la Cour constitutionnelle confirme ou infirme le vote des députés. S’il confirme le licenciement, M. Yoon sera définitivement tombé et une élection présidentielle sera organisée dans les soixante jours. Sinon, il sera réinstallé dans ses fonctions.

La majeure partie du procès dans le licenciement de M. Yoon a examiné la question de savoir s’il avait violé la Constitution en déclarant la loi martiale, une mesure qui ne peut être prise que lorsqu’une intervention militaire est nécessaire pour préserver la sécurité et l’ordre public “En cas de conflit armé ou d’une urgence nationale similaire”.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés en Corée du Sud, les excès d’un “nouveau droit” nostalgique des dictatures

Lire plus tard

Arrêté le 15 janvier après s’être enracinée pendant plusieurs semaines dans sa résidence à Séoul, M. Yoon avait été inculpé le 26 janvier et mis en détention pré-provenante pendant six mois. Il est accusé de«Insurrection»Un crime passible de la peine capitale ou de la prison à perpétuité, qui n’est pas couverte par son immunité présidentielle.

Son procès pénal, le premier contre un président en fonction de l’histoire de la Corée du Sud, a commencé le 20 février devant le tribunal du district central de Séoul par une audience préliminaire consacrée aux questions de procédure. La prochaine audience est prévue pour le 24 mars.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Donald Trump, un modèle pour les partisans du président sud-coréen rejeté

Lire plus tard

Le monde

Réutiliser ce contenu
#Corée #Sud #juge #annule #mandat #darrêt #contre #président #Yoon #Suk #Yeol

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.