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Sanctionner les magistrats du cas Esposito : la demande du Parquet général de la Cour de Cassation au CSM

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Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes d’anonymisation et d’optimisation pour un public francophone :

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Le procureur Gianfranco Colace (Ansa)

le processus disciplinaire

Une sanction est requise contre deux magistrats impliqués dans une affaire d’écoutes illégales. Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) est saisi. Un sénateur a été illégalement intercepté pendant trois ans.


Mutation et perte d’ancienneté d’un an. C’est la sanction demandée au Conseil supérieur de la magistrature (CSM). elle concerne deux magistrats : un procureur et une juge. Ils sont impliqués dans une affaire d’écoutes illégales. L’affaire concerne l’ancien sénateur Stefano Esposito.

Pendant trois ans, de 2015 à 2018, Esposito a été intercepté indirectement. Il parlait avec un entrepreneur. Il a ensuite été renvoyé en jugement pour des délits graves. ces délits incluaient corruption et trafic d’influence. Ni le procureur, ni la juge n’ont demandé l’autorisation au Sénat. Cette autorisation était nécessaire pour utiliser les écoutes. La Constitution l’exigeait.

La conduite des deux magistrats a été censurée. La Cour constitutionnelle a constaté une violation des règles constitutionnelles. Ces règles protègent le Parlement. L’année dernière, Esposito a été acquitté de toutes les accusations. Le tribunal de Rome a prononcé cet acquittement.

La procureure générale a motivé sa demande de sanction disciplinaire. Elle a invoqué une « grave violation de la loi déterminée par une ignorance ou une négligence inexcusable ». Elle a rappelé la décision de la Cour constitutionnelle. Le procureur a demandé le renvoi en jugement d’Esposito. Il a utilisé des écoutes téléphoniques sans autorisation du Sénat. La juge a également renvoyé Esposito en jugement. Elle n’a pas demandé l’autorisation au Sénat. La défense d’Esposito avait soulevé la question de l’inutilisabilité des écoutes.

Les avocats des magistrats ont axé leur défense sur une « difficulté d’interprétation de la réglementation en vigueur ». Ils ont évoqué son caractère « opinable ».Selon eux, la jurisprudence est claire. Les questions d’utilisabilité des preuves ne relèvent pas du juge d’instruction. Elles relèvent du juge du procès. Cependant,cela est faux si des parlementaires sont impliqués. La loi est très claire sur ce point.

Il est surprenant qu’un magistrat en service ne connaisse pas la réglementation constitutionnelle. Il est également surprenant qu’un ancien magistrat parle d’« opinabilité » de l’interprétation des normes. Ce dernier a affirmé que les écoutes impliquant le sénateur Esposito n’ont pas été utilisées. Elles n’auraient pas servi à la demande de renvoi en jugement. Cette affirmation est fausse. La demande de renvoi en jugement se basait sur une note de la police judiciaire. Cette note rapportait les écoutes impliquant Esposito jugées pertinentes.

Le procureur est intervenu à l’audience avec des déclarations paradoxales. « Quand les contacts entre l’entrepreneur et le sénateur Esposito sont apparus, je me suis demandé quoi faire. Devais-je dire au Sénat que l’ami d’un sénateur corrompait peut-être une taupe au parquet ? », a-t-il déclaré. il aurait suffi d’ordonner à la police judiciaire de ne pas intercepter les conversations entre l’entrepreneur et le sénateur Esposito. Au lieu de cela, le procureur a continué et les prérogatives parlementaires ont été violées. La décision du CSM est attendue le 25 mars.




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Affaire Esposito : Sanction Disciplinaire Requise Contre Deux Magistrats

Le procureur Gianfranco Colace (Ansa)

Le Processus Disciplinaire

Une sanction est requise contre deux magistrats impliqués dans une affaire d’écoutes illégales. Le conseil supérieur de la magistrature (CSM) est saisi. Un sénateur a été illégalement intercepté pendant trois ans.

Une sanction lourde est demandée : mutation et perte d’ancienneté d’un an pour un procureur et une juge impliqués dans une affaire d’écoutes illégales concernant l’ancien sénateur Stefano Esposito.

Écoutes illégales et violation constitutionnelle : De 2015 à 2018, M. Esposito a été intercepté indirectement lors de conversations avec un entrepreneur. Ni le procureur ni la juge n’ont sollicité l’autorisation du Sénat, pourtant exigée par la Constitution pour l’utilisation de ces écoutes. Cette action a conduit à une violation des règles constitutionnelles protégeant le Parlement, constatée par la cour constitutionnelle. Esposito a finalement été acquitté de toutes les accusations l’année dernière par le tribunal de Rome.

Justification de la demande de sanction : La procureure générale justifie sa demande par une « grave violation de la loi déterminée par une ignorance ou une négligence inexcusable »,rappelant la décision de la Cour constitutionnelle. la défense des magistrats invoque une « difficulté d’interprétation de la réglementation en vigueur » et son caractère « opinable ». Cependant, l’argument selon lequel les questions d’utilisabilité des preuves ne relèvent que du juge du procès est faux lorsqu’il s’agit de parlementaires. La loi est précise sur ce point.

Déclarations paradoxales et fausses affirmations : Le procureur a fait des déclarations paradoxales durant l’audience.Il aurait pu ordonner à la police judiciaire de ne pas intercepter les conversations entre l’entrepreneur et le sénateur Esposito, évitant ainsi la violation des prérogatives parlementaires.L’affirmation selon laquelle les écoutes n’auraient pas été utilisées dans le dossier est fausse. La demande de renvoi en jugement reposait sur une note de la police judiciaire qui mentionnait ces écoutes comme pertinentes.

La décision du CSM est attendue pour le 25 mars.


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Tableau Récapitulatif

| Information | Détail |

|—————————–|———————————————-|

| Personnes impliquées | Deux magistrats,sénateur Stefano Esposito |

| durée des écoutes | Trois ans (2015-2018) |

| Sanction demandée | Mutation et perte d’ancienneté d’un an |

| Organisme saisi | Conseil supérieur de la magistrature (CSM) |

| Violation | Article constitutionnel protégeant le Parlement |

| Acquittement Esposito | Prononcé l’année dernière |

| Décision CSM attendue | 25 mars |

FAQ

Q : Quelle est la nature de l’affaire ?

R : une affaire d’écoutes illégales impliquant deux magistrats et un sénateur.

Q : Quelle sanction est demandée ?

R : Mutation et perte d’ancienneté d’un an pour les deux magistrats.

Q : quel organisme est saisi ?

R : Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM).

Q : Quand la décision du CSM est-elle attendue ?

R : Le 25 mars.

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