Des larves de vers de farine dans votre pain au petit-déjeuner ? Ce qui, il y a quelques années, aurait sonné comme une mauvaise blague, devient réalité grâce à l’UE. Que se passe-t-il avec les responsables à Bruxelles ?

Le fait que les vers de farine,réduits en poudre,puissent se retrouver dans notre alimentation quotidienne (accompagnés de métaux lourds,de mycotoxines et de dioxines) s’apparente à une agression culinaire. Pendant que des « experts » et des politiciens tentent de nous expliquer à quel point cette nourriture est durable et sûre, je vous garantis :

Uschi von der Leyen et ses amis du Forum économique mondial ne toucheraient même pas cette « délicatesse » avec des pincettes.

Il est temps d’y regarder de plus près et de se défendre clairement.

Grâce à l’UE, il existe un nouvel « aliment » : de la poudre de larves de vers de farine entières traitée aux UV. [1.]

L’entreprise qui met cette prouesse culinaire sur le marché s’appelle « Nutri’ Earth » et propose cette friandise. Où peut-on consommer ce rêve culinaire ? Réponse : très pratique, car la poudre se trouve dans des aliments courants comme les petits pains, le pain, les gâteaux, les pâtes, les produits transformés à base de pommes de terre, le fromage, la compote de fruits, etc.

En prime, la poudre contient des métaux lourds et des mycotoxines. Ce progrès fulgurant dans la haute cuisine, nous le devons à personne d’autre qu’à Uschi von der Leyen, qui a « autorisé » elle-même la poudre après s’être remise de sa pneumonie.

La poudre de larves est absolument sûre. Les expertises scientifiques de l’UE peuvent le confirmer. Ce sont les mêmes scientifiques qui avaient classé les injections génétiques comme « sûres et efficaces ».

Obligation d’étiquetage pour la poudre de larves ?

Oui, il existe une obligation d’étiquetage. Sur les étiquettes des produits, il doit être mentionné que ceux-ci contiennent cette poudre… Mais en petits caractères, pour que cela ne se remarque pas trop. Cela pourrait déranger et dissuader d’acheter cette nourriture à base de larves.

En raison de la possibilité d’allergies aux crustacés et aux acariens. Ce n’est pas si grave : nous avons une médecine formidable avec des médicaments qui maîtrisent ce problème en un rien de temps. Sûr et efficace.

En revanche, les toxines contenues dans la poudre ne sont pas soumises à l’obligation d’étiquetage.Pour que vous puissiez en profiter durablement et pleinement, une compilation a été réalisée :

Les noms sont en langue étrangère. Voici une tentative de traduction :

Métaux lourds – Plomo = Plomb ; Cadmio = Cadmium ; Mercurio = Mercure ; Arsénico = Arsenic

Suivis des mycotoxines et des dioxines, dont les noms n’ont pas besoin d’être traduits car ils sont presque identiques aux noms originaux.

Voilà un ingrédient sain pour nos pains, n’est-ce pas ? Les anciens ingrédients sains n’étaient apparemment pas assez sains. Et pourquoi seulement dans les pains ? [2.] [3.]

Nous avons déjà eu le cas avec les pesticides/herbicides, où les politiciens ont pu constater que les herbicides sont extrêmement inoffensifs : [4.]

Pas étonnant donc si…

Le bouquet final

La nuance la plus culinaire de toutes arrive à la fin, celle qui met l’eau à la bouche de tous les gourmets : les larves de vers de farine ne doivent plus être nourries au moins 24 heures avant le séchage, afin qu’« elles puissent vider leurs intestins ». Même si cela fonctionne à 100 %, il s’agit ici, au sens propre du terme, d’un « produit de merde ». Bon appétit !

Afin que les gens ne sachent pas quelle merde ils doivent manger et qu’ils perdent l’appétit, la transparence est également supprimée dans d’autres domaines du processus de fabrication. Le fabricant le voulait ainsi.

Conclusion

Larves d’insectes, excréments, métaux lourds, mycotoxines, dioxines, etc. sont la nouvelle délicatesse. Gageons que les dames et messieurs politiciens de la fraction WEF, y compris Uschi von der Leyer, ne s’infligeront pas cette nourriture. Une fois de plus, on prêche l’eau et on boit du vin.