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Manaوي: Pas de conflit entre la Force conjointe et le Bouclier du Soudan

by Nouvelles

Le superviseur général des forces conjointes et chef du Mouvement de libération du Soudan, a démenti l’existence de désaccords avec les forces du Bouclier du Soudan dirigées par Abou Aqila Kikel.

Lors d’un iftar du Ramadan, il a affirmé que « les forces conjointes et le bouclier du Soudan ont mené ensemble les batailles de la région d’Al-Jazira, et il n’y a aucune vérité dans l’existence de désaccords ».

Les plateformes de réseaux sociaux ont rapporté des échanges verbaux acerbes entre les partisans des deux parties, tandis que des organisations de défense des droits humains ont accusé les forces du Bouclier du Soudan d’avoir commis des violations contre les habitants d’Al-Kanabi lors des opérations de reprise de contrôle de l’État d’Al-Jazira.

Les dirigeants des forces conjointes ont condamné ces violations, et le Conseil de souveraineté a formé une commission spéciale d’enquête, mais la commission n’a pas encore annoncé ses conclusions.

Il a défendu la position de ses forces, qui refusent de s’intégrer aux Forces de soutien rapide dans le cadre des arrangements de sécurité spéciaux de l’accord de Juba 2020, accusant des parties qu’il n’a pas nommées de tergiverser dans la réalisation du dossier des arrangements de sécurité.Il a ajouté : « La balle est maintenant dans le camp des forces armées ».

Les parties à l’accord de Juba et la composante militaire du gouvernement de transition ont continué à s’accuser mutuellement de lenteur dans la mise en œuvre des arrangements de sécurité.

Il a salué les relations avec l’Érythrée, expliquant que le président Afwerki accorde une attention particulière à la crise au Soudan.Il a également appelé à la fin du conflit idéologique dans le pays, soulignant que « le conflit mondial d’aujourd’hui est centré sur l’économie et les ressources », adressant des critiques aux islamistes et aux communistes, et accusant le Parti communiste de se transformer en activité d’espionnage par le biais d’organisations de la société civile.

Il a appelé à se rallier aux idées productives loin du fanatisme idéologique, qui, selon lui, a conduit le pays dans « le goulet d’étranglement ».

Il a souligné la nécessité de la réconciliation et de la tolérance après la fin de la guerre,ajoutant : « Il aurait fallu se réconcilier avec les islamistes après la chute d’Al-Bashir »,soulignant l’importance de tenir un véritable dialog national pour éviter les erreurs du passé.

Concernant le statut juridique du gouvernement de la région du Darfour, il l’a défendu en disant : « Cette situation est le résultat de l’accord de Juba ».

Il est à noter que les Forces de soutien rapide ont pris le contrôle de la plupart des villes de la région, à l’exception d’Al-Fasher et de ses environs, où les combats se déroulent depuis mai dernier.

Conflit au Soudan : Démenti des désaccords entre les forces conjointes et le Bouclier du Soudan

le superviseur général des forces conjointes et chef du Mouvement de libération du Soudan a démenti toute divergence avec les forces du Bouclier du Soudan dirigées par Abou Aqila Kikel. Lors d’un iftar, il a affirmé la coopération entre les deux forces dans les batailles d’al-Jazira. Malgré cette déclaration, des échanges houleux ont été observés sur les réseaux sociaux entre les partisans des deux camps.

Des organisations de défense des droits humains accusent le Bouclier du Soudan de violations à Al-Kanabi lors des opérations de reprise d’Al-Jazira. Les dirigeants des forces conjointes ont condamné ces accusations, et une commission d’enquête a été formée par le Conseil de souveraineté, mais n’a pas encore publié ses conclusions.

Positions et Accords

Les forces conjointes refusent de s’intégrer aux Forces de soutien rapide (FSR) selon l’accord de Juba de 2020, accusant des parties non identifiées de retarder la mise en œuvre des arrangements de sécurité. La responsabilité est selon elles déléguée aux forces armées. Les parties à l’accord de juba s’accusent mutuellement de lenteurs dans la mise en œuvre des accords de sécurité.

Relations Internationales et Appel à la Réconciliation

Le superviseur a salué les relations avec l’Érythrée, soulignant l’attention du président Afwerki sur la crise soudanaise. Il a appelé à la fin des conflits idéologiques, insistant sur la primauté des enjeux économiques et des ressources. Il a critiqué les islamistes et les communistes, accusant le Parti communiste d’espionnage via des ONG.Il plaide pour une réconciliation et une tolérance après la guerre, regrettant le manque de réconciliation avec les islamistes après la chute d’Al-Bashir, et préconisant un dialog national pour éviter les erreurs du passé. Il défend le statut juridique du gouvernement du Darfour, le justifiant par l’accord de juba, malgré le contrôle des FSR sur la plupart des villes de la région, à l’exception d’Al-Fasher et ses environs où les combats persistent depuis mai.

Tableau Récapitulatif

| Point Clés | description |

|——————————————-|———————————————————————————-|

| Désaccords entre forces conjointes et Bouclier du soudan | Démentis par le superviseur général des forces conjointes.|

| Accusations de violations des droits humains | portées contre le Bouclier du Soudan à Al-kanabi.|

| Intégration aux FSR | Refusée par les forces conjointes, en raison de retards dans la mise en œuvre de l’accord de Juba. |

| Relations avec l’Érythrée | Positives, avec le soutien du président Afwerki. |

| Appel à la réconciliation | Après la guerre, incluant une réconciliation avec les islamistes. |

| Situation au Darfour | Justifiée par l’accord de Juba. |

FAQ

Q : Y a-t-il des désaccords entre les forces conjointes et le Bouclier du Soudan ?

R : Non, le superviseur général des forces conjointes a démenti l’existence de tels désaccords.

Q : Quelles sont les accusations portées contre le Bouclier du Soudan ?

R : Violations des droits humains à Al-Kanabi.

Q : Quelle est la position des forces conjointes concernant l’intégration aux FSR ?

R : elles refusent l’intégration, pointant du doigt des retards dans la mise en œuvre de l’accord de Juba.

Q : Quel est l’appel principal lancé par le superviseur général ?

R : Appel à la réconciliation et à la fin des conflits idéologiques.

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