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Homeplus : 1500 milliards de KRW en titres de créances

by Nouvelles

Face aux difficultés financières, une grande enseigne de distribution a eu recours au marché des financements à court terme, faute de notation de crédit à long terme. L’augmentation de l’émission de titres adossés à des créances de cartes de crédit (ABSTB) dès la fin de l’année dernière, et particulièrement juste avant de demander la mise en redressement judiciaire, soulève des questions.Des investisseurs en ABSTB estiment qu’ils étaient conscients de la dégradation de la notation de crédit.

Selon des données obtenues par un membre du comité des affaires politiques de l’Assemblée nationale, l’émission d’ABSTB par l’enseigne a atteint 151,8 milliards d’unités monétaires le mois dernier, un pic sur deux ans. Cette émission massive a eu lieu juste avant la demande de mise en redressement judiciaire.

Fin du mois dernier, l’encours d’ABSTB s’élevait à 461,8 milliards d’unités monétaires, tandis que l’encours de billets de trésorerie (CP) et d’obligations à court terme atteignait 188 milliards d’unités monétaires. L’entreprise n’a pas d’antécédents d’émission d’obligations publiques pour lever des fonds depuis 2009. Les CP sont privilégiés pour leur facilité d’émission, ne nécessitant ni résolution du conseil d’administration ni dépôt de déclaration d’enregistrement de titres.Une banque d’investissement a géré seule l’émission d’ABSTB de l’enseigne. L’émission d’ABSTB de cette banque a augmenté d’environ 30 % par rapport à l’année précédente. Entre novembre et janvier, l’émission d’ABSTB a bondi de 35 % par rapport à la même période de l’année précédente, atteignant un sommet le mois dernier.

Des critiques s’élèvent quant à l’émission d’obligations à court terme malgré la connaissance de la dégradation de la notation de crédit. L’augmentation de l’émission d’ABSTB dès la fin de l’année dernière alimente les soupçons d’une planification de la demande de mise en redressement judiciaire, anticipant une dégradation de la notation de crédit.

Des cas similaires dans le passé ont conduit à des sanctions.En 2011, une entreprise de construction a émis pour 215,1 milliards d’unités monétaires de CP quelques jours avant de demander sa mise en redressement judiciaire. Le président honoraire du groupe, son fils aîné et son deuxième fils ont été condamnés à des peines de prison pour fraude.

En 2013, un groupe a dissimulé ses risques de faillite et a émis pour 1,3 billion d’unités monétaires de CP et d’obligations par l’intermédiaire d’une société de valeurs mobilières. Le président du groupe a été condamné à sept ans de prison pour fraude.

Lors d’une réunion d’urgence avec les investisseurs en ABSTB, ces derniers ont affirmé que la baisse du bénéfice d’exploitation annuel, la conversion d’actions privilégiées remboursables en capital sans apport de liquidités et l’augmentation de l’endettement laissaient présager une dégradation de la notation de crédit. ils estiment que le manque de flux de trésorerie et l’augmentation de l’encours des obligations à court terme rendaient prévisible cette dégradation.

« 매년 영업이익이 감소했고 현금 유입 없이 상환우선주(RCPS)를 자본으로 전환하면서 부채비율을 개선했다”며 “현금 흐름이 부족하고 전단채 규모가 증가해 신용등급이 하락할 것을 예상할 수 있었을 것 »
Investisseurs en ABSTB

L’affaire de l’enseigne de distribution et ses émissions d’ABSTB : une stratégie risquée ?

Une grande enseigne de distribution a fait face à de sérieuses arduousés financières, la menant à une demande de mise en redressement judiciaire. Son recours massif au financement à court terme, notamment via l’émission de titres adossés à des créances de cartes de crédit (ABSTB), suscite de vives critiques.

L’ampleur du problème:

L’émission d’ABSTB a atteint un pic de 151,8 milliards d’unités monétaires le mois dernier, soit le niveau le plus élevé sur deux ans. Fin du mois dernier, l’encours total d’ABSTB s’élevait à 461,8 milliards d’unités monétaires, contre 188 milliards pour les billets de trésorerie (CP) et obligations à court terme.L’entreprise n’avait pas émis d’obligations publiques depuis 2009. Une seule banque d’investissement a géré l’émission d’ABSTB de l’enseigne, avec une augmentation de ses émissions d’environ 30% par rapport à l’année précédente.

Les accusations de planification:

Des investisseurs en ABSTB estiment avoir été conscients de la dégradation de la notation de crédit de l’enseigne. Ils pointent du doigt la baisse continue des bénéfices d’exploitation, la conversion d’actions privilégiées remboursables en capital sans apport de liquidités, et l’augmentation de l’endettement comme autant de signaux avant-coureurs. L’émission massive d’ABSTB juste avant la demande de redressement judiciaire suscite des soupçons de planification.

Précédents et sanctions:

Des cas similaires ont déjà conduit à des condamnations. En 2011, une entreprise de construction a émis 215,1 milliards d’unités monétaires de CP avant sa mise en redressement judiciaire, conduisant à des peines de prison pour fraude pour ses dirigeants.En 2013, un autre groupe a été condamné pour avoir dissimulé ses risques de faillite tout en émettant 1,3 billion d’unités monétaires de CP et d’obligations.

Tableau récapitulatif:

| Émission | Montant (milliards d’unités monétaires) | Date approximative | Conséquences |

|————–|—————————————–|———————-|———————————————–|

| ABSTB (Pic) | 151.8 | Mois dernier | Demande de mise en redressement judiciaire |

| ABSTB (Encours)| 461.8 | fin du mois dernier | |

| CP & Obligations à court terme (Encours) | 188 | Fin du mois dernier | |

| CP (2011) | 215.1 | Jours avant redressement judiciaire | Condamnation pour fraude des dirigeants |

| CP & obligations (2013) | 1300 | Avant faillite | Condamnation à 7 ans de prison pour le président |

FAQ:

Q: Qu’est-ce qu’un ABSTB ? R: Un titre adossé à des créances de cartes de crédit.

Q: Pourquoi cette émission d’ABSTB est-elle critiquée ? R: Son ampleur juste avant la demande de redressement judiciaire suscite des soupçons de planification.

Q: Y a-t-il eu des précédents similaires ? R: Oui, avec des condamnations pour fraude dans des cas comparables.

Q: Quels étaient les signes avant-coureurs de la dégradation de la notation de crédit ? R: Baisse des bénéfices, conversion d’actions sans apport de liquidités, augmentation de l’endettement et manque de flux de trésorerie.

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