La série britannique *Adolescencia*, diffusée sur Netflix, explore les racines de la violence. L’histoire débute avec l’arrestation de Jamie, un garçon de 13 ans, accusé du meurtre de Katie, une camarade de classe.
La narration se déploie en plans-séquences, une technique que les créateurs, Stephen Graham et Jack Thorne, avaient déjà expérimentée dans *Hierve*, un film devenu ensuite une série. Cette approche permet de tisser un récit choral où les causes de la violence sont multiples et interconnectées.
« Pour moi interpréter n’est pas une partie de golf », Stephen Graham
Cette citation illustre l’importance du travail d’équipe dans la réalisation d’une série, où chaque membre contribue à l’ensemble.
L’intrigue se concentre sur les circonstances qui ont conduit Jamie à commettre cet acte. Cependant, un aspect soulève des interrogations : l’absence de Katie.
dans le deuxième épisode, l’agente Frank exprime son malaise :
Toujours tout tourne autour du responsable.Nous nous sommes concentrés sur ce que pensait jamie, n’est-ce pas ? Katie n’a pas d’importance, celui qui importe est Jamie. On se souviendra de Jamie, personne ne se souviendra d’elle.
Bien que le portrait de Katie soit complexe, il reste indirect. La série, paradoxalement, reproduit ce qu’elle critique : elle ne regarde pas la victime en face.
Adolescence : Une exploration complexe de la violence juvénile
la série britannique Adolescence, disponible sur Netflix, explore les causes profondes de la violence à travers l’histoire de Jamie, un jeune garçon de 13 ans accusé du meurtre de sa camarade de classe, Katie. La série utilise des plans-séquences, une technique déjà employée par les créateurs Stephen Graham et Jack Thorne dans Hierve, pour créer un récit choral et mettre en lumière la complexité des facteurs contribuant à la violence. [[1]] [[2]] [[3]]
La citation de Stephen Graham, « Pour moi interpréter n’est pas une partie de golf », souligne l’importance du travail d’équipe et de la contribution de chaque membre à la réussite de la série. L’intrigue se concentre principalement sur les circonstances ayant mené Jamie à cet acte, mais soulève une question importante : la marginalisation de la victime, Katie.
Dans le deuxième épisode, l’agente Frank exprime ce sentiment :
« Toujours tout tourne autour du responsable.Nous nous sommes concentrés sur ce que pensait Jamie, n’est-ce pas ? Katie n’a pas d’importance, celui qui importe est Jamie. On se souviendra de Jamie,personne ne se souviendra d’elle. »
Malgré la complexité potentielle du personnage de Katie, sa représentation reste indirecte, ce qui constitue un paradoxe : la série critique un manque de considération pour la victime tout en reproduisant ce même manque.
Informations Clés sur Adolescence
| Caractéristique | Description |
|————————–|————————————————–|
| genre | Drame |
| Plateforme | Netflix |
| Protagoniste | Jamie, un garçon de 13 ans accusé de meurtre |
| Technique narrative | Plans-séquences |
| Thème principal | Exploration des racines de la violence juvénile |
| Point faible potentiel | manque de focus sur la victime |
FAQ
Q : De quoi parle la série Adolescence ?
R : Elle explore les causes de la violence chez les adolescents à travers l’histoire d’un garçon de 13 ans accusé de meurtre.
Q : Quelle est la technique narrative utilisée ?
R : Des plans-séquences.
Q : Où puis-je regarder Adolescence ?
R : Sur Netflix.
Q : Quel est le point faible potentiel souligné dans le texte ?
R : Le manque de focus sur la victime.